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Credits image : Nicolas Arnold / Unsplash

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Le partenariat entre Nvidia et Quantum Machines révolutionnera-t-il l’ère des supercalculateurs ?

Est-ce que le partenariat entre Nvidia et Quantum Machines pourrait-il réinventer l’univers des supercalculateurs ? Nvidia et Quantum Machines, une startup israélienne qui propose une plateforme d’orchestration pour contrôler et exploiter des processeurs quantiques, ont annoncé aujourd’hui le lancement de Nvidia DGX Quantum. Ce produit associe la super-puce Grace Hopper de Nvidia avec le contrôleur de Quantum Machines.

De plus en plus, il devient évident que pour utiliser efficacement un ordinateur quantique, il faut également disposer de nombreuses ressources informatiques classiques pour contrôler ces systèmes. Comment fonctionne cette intégration étroite entre les supercalculateurs classiques et les ordinateurs quantiques ? Elle permet en partie d’exécuter des algorithmes de calibration et de correction d’erreur sur les machines classiques pour maintenir les ordinateurs quantiques en activité.

Itamar Sivan, cofondateur et PDG de Quantum Machines, déclare : « Les ordinateurs quantiques ont une place très naturelle – et c’est celle de propulser les supercalculateurs. » Il ajoute : « Le plus logique est, je pense, une intégration dans l’infrastructure de supercalcul et l’infrastructure cloud. D’une part, ce seront les premiers endroits pour intégrer les ordinateurs quantiques à grande échelle, et d’autre part, nous voulons également propulser les supercalculateurs avec le quantique. »

Le partenariat entre Nvidia et Quantum Machines vise à intégrer étroitement les capacités des supercalculateurs classiques avec les ordinateurs quantiques.

C’est là que réside l’essence de cette collaboration. Les ordinateurs quantiques nécessitent d’énormes ressources informatiques classiques et, pour un supercalculateur, le quantique devient en quelque sorte un coprocesseur pour gérer des tâches spécifiques, de la même manière que les GPU sont souvent utilisés pour accélérer les tâches d’apprentissage automatique, par exemple.

Tim Costa, directeur de l’informatique haute performance et du quantique chez Nvidia, explique : « Si vous avez un million de qubits ou des centaines de milliers de qubits et que chacun a une douzaine de paramètres à optimiser indépendamment, les leaders de la communauté se tournent vers des méthodes d’IA, qui brillent sur une plate-forme Nvidia. » Il ajoute : « Il y a cette énorme exigence de calcul GPU pour mettre en place un ordinateur qui réalisera la promesse du quantique. Et pour ce faire, bien sûr, nous devons être étroitement couplés au quantique, donc nous devons travailler avec le leader du domaine en termes d’interface et de contrôle du quantique, qui est Quantum Machine. »

Alors, est-ce que ce partenariat pourrait transformer l’industrie des supercalculateurs et accélérer le développement de l’informatique quantique dans le monde ?

Source : Techcrunch

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