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Credits image : Markus Winkler / Unsplash

SociétéTechnologie
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Cap ou pas cap…ital-risque ?

« On ne peut pas toujours miser sur la bonne fortune des startups. »

Alors que Y Combinator dévoile les dernières startups de sa cohorte pour cet hiver, la nouvelle est mauvaise pour les fondateurs : le marché mondial du capital-risque a rétréci au T1 2023, et aurait été encore pire sans quelques méga deals, selon les rapports de Crunchbase et PitchBook. Et aux États-Unis, les choses ne s’arrangent pas.

Les startups ne sont pas les seules à souffrir. Les capital-risqueurs voient également leur capacité à lever des fonds entravée par une série de mauvaises affaires de startups lors du dernier boom et un manque de volume de sorties.

La baisse actuelle des investissements dans les startups pourrait ne pas s’inverser de sitôt.

Cela n’empêche pas certains entrepreneurs de vouloir tenter leur chance. Nous aurons bientôt des informations sur ce qui semble être un groupe croissant de startups qui pourraient être les premières entreprises à envisager des IPO lorsque le marché rouvrira. Mais pour l’instant, nous sommes coincés à regarder l’argent entrer dans le monde des startups, et non l’inverse.

Il y a peu de bonnes nouvelles à tirer de ces données du T1, mais ne vous stressez pas. Les chiffres ne sont certes pas géniaux, mais ils ne sont pas non plus aussi mauvais que nous le craignions pour 2023. En avant !

Les données de Crunchbase indiquent que le financement total des startups au niveau mondial est passé de 162 milliards de dollars un an plus tôt à 76 milliards de dollars au premier trimestre. Il est important de noter que cette baisse de 1% par rapport au T4 2022 est en réalité une bonne nouvelle, étant donné la période difficile que nous traversons.

Alors, comment expliquer cette légère amélioration ? Gené Teare, de Crunchbase, souligne que l’investissement de 10 milliards de dollars dans OpenAI (principalement de Microsoft) et le tour de table de 6,5 milliards de dollars pour le géant des paiements Stripe ont contribué à maintenir ces chiffres. Sans ces deux méga deals, les fonds de capital-risque du T1 auraient chuté de manière encore plus dramatique, près de 60 milliards de dollars.

Source : Techcrunch

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