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Credits image : Headway / Unsplash

Technologie
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ShelfLife : une « conservation » écourtée

« On ne peut pas toujours prédire la durée de vie d’une startup », déclara un entrepreneur en herbe en parlant de la vie d’une entreprise. La fondatrice de ShelfLife, Lillian Cartwright, a réalisé exactement cela lorsqu’elle a lancé sa startup. Cette entreprise, censée révolutionner la manière dont les entreprises trouvent les ingrédients nécessaires à la production de boissons, a rencontré quelques obstacles imprévus. Mais comme le dit le proverbe, ce n’est pas la fin, mais le début d’une autre aventure.

L’idée de ShelfLife est née lorsque Cartwright, alors étudiante en MBA à Harvard, a essayé de créer une entreprise de hard seltzer. Démarcher les fournisseurs d’ingrédients s’est avéré plus compliqué qu’elle ne l’avait imaginé, et une idée de startup est née : créer une plateforme numérique permettant aux entreprises de trouver les ingrédients dont elles ont besoin, de négocier les prix et de payer rapidement et efficacement.

Le défi s’est avéré de taille. Malgré les avantages évidents de la numérisation, il n’est pas toujours facile de transformer un secteur habitué à fonctionner à l’aide de méthodes manuelles et archaïques.

L’échec de ShelfLife illustre les défis que peuvent rencontrer les startups lorsqu’elles cherchent à transformer un secteur encore attaché à des processus manuels.

Pour Lillian, le début de l’aventure avait pourtant été prometteur : elle avait réussi à lever plus de 300 000 dollars pour son projet et avait trouvé un associé technique expérimenté en la personne de John Cline. Ensemble, ils avaient commencé à construire la plateforme de ShelfLife.

Au fil du temps, Lillian a réussi à lever 2,7 millions de dollars supplémentaires et la plateforme a commencé à prendre forme. Malheureusement, la réalité a rattrapé la jeune fondatrice, et la conjoncture économique et la difficulté à convaincre les entreprises de passer au numérique auront eu raison de ShelfLife.

En fin de compte, ShelfLife n’a pas tenu ses promesses, mais l’expérience acquise par Lillian Cartwright et son équipe pourrait bien se révéler précieuse pour leurs projets futurs. Comme le dit le dicton, on apprend parfois plus des échecs que des succès.

Et pour conclure sur une note légère, rappelez-vous qu’en matière de durée de vie de startups, la « shelf life » (durée de conservation) peut varier !

Source : Techcrunch

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