aerial view of boat sailing on blue ocean

Credits image : Daniel Kuruvilla / Unsplash

HardwareIntelligence ArtificielleSciences
0

Dron’ plongeon en milieu inconnu

« Les drones, c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi ils vont tomber ! » Cette célèbre paraphrase est devenue réalité avec les récents travaux du MIT sur les réseaux de neurones liquides pour améliorer la navigation des drones dans des environnements inconnus.

Les chercheurs du MIT ont créé des réseaux de neurones liquides en 2021, inspirés de l’adaptabilité des cerveaux biologiques. Ces algorithmes d’intelligence artificielle et d’apprentissage automatique sont capables d’apprendre et de s’adapter aux nouvelles données dans le monde réel, même en plein vol.

Les réseaux de neurones liquides permettent aux drones de mieux naviguer dans des environnements inconnus.

Les réseaux de neurones liquides peuvent comprendre les informations essentielles à la mission d’un drone tout en ignorant les caractéristiques non pertinentes de l’environnement. Selon un article publié dans Science Robotics, les réseaux de neurones liquides peuvent également « capturer de manière dynamique la véritable cause-effet de leur mission », ce qui est « la clé de la performance robuste des réseaux liquides face aux changements de distribution ».

Dans leurs essais, les chercheurs ont constaté que les drones équipés des réseaux de neurones liquides étaient capables de suivre des cibles en mouvement, par exemple. Ils suggèrent que combiner des données limitées d’experts avec une meilleure compréhension des environnements inconnus pourrait rendre les opérations de drones plus fiables et efficaces.

Daniela Rus, directrice du CSAIL (Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory) et co-auteure de l’article, souligne que « cette adaptabilité est rendue possible grâce aux fondements causaux de nos solutions. Ces algorithmes flexibles pourraient un jour aider à la prise de décision basée sur des flux de données qui évoluent dans le temps, comme le diagnostic médical et les applications de conduite autonome ».

En conclusion, les réseaux de neurones liquides pourraient représenter une avancée majeure pour les applications de drones dans des environnements variés et en constante évolution. Qui sait ? Peut-être que dans un avenir proche, nos drones volants sauront se déplacer comme des pois…sons dans l’eau !

Source : Engadget

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.