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Credits image : Louis Reed / Unsplash

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Les chercheurs en-a-venturine pour changer le monde

« Il y a tellement de choses qui pourraient impacter la vie de chacun sur Terre, mais qui ne sortent pas du laboratoire et ne sont pas appliquées concrètement », déclare David Van Wie, fondateur d’Aventurine Capital Group. C’est de cette manière qu’il résume le problème que tente de résoudre son accélérateur centré sur la propriété intellectuelle.

Aventurine se concentre sur des domaines où les capitaux-risqueurs ne vont généralement pas : soutenir les personnes qui ne sont pas des entrepreneurs naturels et investir sur le long terme dans la propriété intellectuelle grâce à son Perpetual IP Income fund (fonds PIPI). Cela pourrait sembler à l’opposé d’une croissance rapide et d’une sortie opportune, mais l’équipe pense que c’est bien ainsi et que les fonds de capital-risque n’ont peut-être pas toujours besoin de se précipiter.

Joe Maruschak, directeur général du studio d’investissement d’Aventurine, décrit le profil des personnes qu’ils cherchent à financer : « C’est un chercheur qui a passé 20 ans de sa vie à poursuivre quelque chose. Il a attrapé le virus de la chimie et a passé toute sa vie à se plonger dedans. Il a obtenu son doctorat, trouvé un poste à l’université et fait une découverte. »

Le chercheur n’a pas à être entrepreneur pour que son travail ait un impact.

Au cœur de la thèse d’Aventurine, on trouve l’idée que les chercheurs ne devraient pas avoir à devenir entrepreneurs pour que leurs découvertes ou innovations puissent être développées, mises sur le marché et, finalement, avoir un impact dans le monde. Ils reconnaissent que les compétences d’un chercheur ne sont pas forcément les mêmes que celles d’un fondateur et que ces derniers ne devraient pas être obligés de s’adapter en un temps record.

C’est dans cette optique qu’Aventurine espère créer la formule gagnante. Ils soutiennent et font grandir des entreprises qui pourraient autrement rester bloquées dans les laboratoires, laissant les inventeurs et les universitaires continuer à faire ce qu’ils font de mieux.

Alors qui sait, peut-être que les chercheurs se disent maintenant: « Qui ne tente rien n’a-venturine ! » Et peut-être qu’Aventurine est la solution pour permettre à davantage de découvertes de sortir des labos et de changer notre monde en mieux.

Source : Techcrunch

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