« Il faut savoir faire preuve de réactivité et de flexibilité », disait un célèbre techno-philosophe. La quête des start-up pour capital-risque a connu un véritable bouleversement ces dernières années. Célèbre révélateur de ce changement, de plus en plus d’investisseurs sont attentifs aux fondateurs et à leur capacité à s’adapter aux temps difficiles.
En effet, nul besoin d’avoir des chiffres de croissance faramineux ou d’être un génie du marketing pour susciter l’intérêt. Ce qui compte vraiment désormais, c’est de parvenir à maintenir une croissance durable et efficace en temps de crise.
Les start-ups ont parfois du mal à s’adapter à ce nouvel écosystème et aux exigences de leurs investisseurs. Dans cet article, nous expliquons pourquoi certaines d’entre elles peinent à financer leur projet et comment suivre de près les indicateurs clés pour optimiser l’efficacité de leurs dépenses.
« Indicateurs clés et capital-risque : le gros enjeu pour les start-ups en quête de financement. »
La première erreur des fondateurs est de se fier à une seule métrique, souvent mal interprétée, pour jauger leur efficacité. Au lieu de se baser uniquement sur le rapport entre la valeur à vie du client et le coût d’acquisition, il est préférable d’envisager d’autres indicateurs clés pour évaluer l’efficacité de ses dépenses.
Le CAC (coût d’acquisition client) payback en est un exemple parlant. Comme son nom l’indique, il permet d’évaluer le temps nécessaire pour rentabiliser une dépense en termes d’acquisition. Ce délai doit, bien évidemment, être réduit au maximum pour maximiser l’efficacité de l’investissement.
Il est donc capital pour les start-ups de ne pas se laisser aveugler par de faux chiffres et d’apprendre à décoder les métriques adaptées à leurs besoins. Il n’est pas étonnant de voir ces fondateurs s’adapter en permanence pour trouver le juste équilibre entre croissance et viabilité financière. Comme disait un autre techno-philosophe du siècle dernier : « Changement fait partie de la Vie ».
Source : Techcrunch