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Credits image : Łukasz Łada / Unsplash

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Nuages à l’horizon ? Le cloud en quête d’optimisation

« Nuageux avec une chance de mégadonnées, » pourraient dire les météorologues de l’industrie du cloud. Alors que la croissance du chiffre d’affaires public des services de cloud diminue, il est important de s’interroger sur la situation. De 32% au premier trimestre de l’année dernière, la croissance des revenus a chuté à 19% cette année. Bien que cela semble alarmant, cette baisse ne signifie pas pour autant la fin du cloud.

Certains parlent d’une grande répatriation avec le retour des charges de travail du cloud aux infrastructures sur site, mais les preuves de cette théorie ne semblent pas convaincre. En réalité, les entreprises ralentissent simplement leur migration vers le cloud pour trouver la manière la plus efficace de répartir leurs charges de travail.

Les entreprises ont désormais compris que toutes les charges de travail ne sont pas adaptées au cloud. Certaines, qui ne tolèrent même pas un minimum de latence, doivent être hébergées en périphérie, près de la source de calcul. Néanmoins, peu de départements informatiques souhaitent revenir aux jours de l’installation laborieuse de nouveaux serveurs.

Le ralentissement de la croissance du cloud public ne signifie pas sa chute, mais un ajustement des entreprises pour optimiser leurs dépenses.

Alors, pourquoi la croissance du cloud public se ralentit-elle ? Les clients ont commencé à examiner leurs factures de cloud, cherchant des moyens de réduire les coûts. Le directeur financier d’Amazon, Brian Olsavsky, l’admettait lors d’une récente conférence téléphonique avec les analystes.

Il ajoutait que le ralentissement de la croissance pourrait se poursuivre pendant quelques trimestres, mais que globalement, les clients sont toujours optimistes quant à l’utilisation du cloud. Les avantages du cloud sont clairs : il offre une flexibilité inégalée et évite les coûts et les compétences nécessaires liés à la gestion de son propre datacenter.

Alors, que signifie ce ralentissement pour la croissance du marché des revenus des infrastructures de cloud ? Selon les données, tout devrait bien se passer. Ça semble juste un peu orageux à court terme.

Après tout, comme le dit l’adage : « Après la pluie, le beau temps… » du cloud !

Source : Techcrunch

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