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Credits image : Marija L / Unsplash

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Manzoor et Manoeuvres techno-ludiques

« Le rire est la musique du coeur », dit un vieil adage, et aujourd’hui, penchons-nous sur la vie technologique de Nida Manzoor, scénariste et réalisatrice de « Polite Society« , qui adopte une approche plutôt joyeuse et hilarante de l’art.

Comme tout artiste moderne, Manzoor dépend des gadgets pour le travail et les loisirs, mais c’est sa passion pour la musique qui remporte le prix. Toujours en train de créer des playlists, elle utilise surtout des écouteurs JBL discrets pour écouter ses morceaux préférés. Cependant, compte tenu de ses nombreux déplacements pour promouvoir ses films, il serait peut-être temps pour elle de se procurer des AirPods Pro ou des AirPods Max pour mieux atténuer le bruit des avions.

La réalisatrice Nida Manzoor jongle entre technologie et musique.

Lorsqu’on lui demande quel appareil existant elle utiliserait pour le reste de sa vie si elle ne pouvait en choisir qu’un (imaginez une catastrophe mondiale menant à un scénario de type Mad Max),
Manzoor choisit sans surprise son ordinateur portable, car pour elle, tant qu’il y a des lettres avec lesquelles elle peut écrire quelques blagues, tout va bien. Comme avec Station Eleven, le monde pourrait toujours utiliser quelqu’un capable de documenter la chute de la civilisation sous forme de pièce de théâtre.

En ce qui concerne la technologie ancienne qui lui manque le plus, Manzoor regrette la disparition des téléphones à clapet et l’époque où il fallait se connecter à Internet avec les sons d’un modem avant l’avènement du haut débit et des réseaux cellulaires rapides. Pour elle, il y avait une beauté simple dans cette connexion limitée et les téléphones plus anciens. (Ce n’est pas si étonnant à entendre, étant donné que les critiques de We Are Lady Parts ont poussé Manzoor hors des médias sociaux).

Enfin, face à un avenir incertain, Manzoor espère un jour pouvoir télécharger des compétences directement dans son cerveau, à la manière de Néo dans The Matrix. Apprendre le Kung Fu sans les mois d’entraînement qu’ont dû suivre ses acteurs serait une idée tentante. Bien que nous n’en soyons pas encore là avec les interfaces cerveau-ordinateur (BCI), si la technologie continue de progresser, cela pourrait se produire plus tôt que prévu.

Source : Engadget

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