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Credits image : Dylan Gillis / Unsplash

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La dette de capital-risque, une fin annoncée ou une adaptation nécessaire ?

La chute de la Silicon Valley Bank (SVB) a-t-elle vraiment marqué la fin de la facilité à contracter une dette de capital-risque ?

Après l’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) et de la First Republic Bank, quel avenir pour les dettes de capital-risque ? TechCrunch+ a récemment interviewé cinq investisseurs à ce sujet et tous estiment que ces banques ont certes connu des difficultés, mais que la dette des entreprises en capital-risque ne disparaîtra pas pour autant. En revanche, contracter ce type de dette deviendra sans doute plus complexe et coûteux qu’auparavant. Alors, comment les choses vont-elles évoluer concrètement ?

Si plusieurs investisseurs estiment que la dette de capital-risque restera une option moins coûteuse pour les fondateurs que les actions en capital, tous pensent que son coût augmentera à l’avenir. Quels facteurs pourraient expliquer cette hausse ?

L’avenir de la dette de capital-risque pourrait être plus coûteux et complexe qu’auparavant.

Sophie Bakalar, associée chez Collab Fund, considère que les tendances macroéconomiques joueront un rôle déterminant dans l’évolution des prix. « Les marchés financiers évoluent, alors les fondateurs doivent s’attendre à ce que ce type de capital voie son coût augmenter à mesure que les tendances économiques et les dynamiques de l’offre et de la demande sur le marché changent drastiquement. Nous disons aux fondateurs qu’ils doivent se préparer à la possibilité d’un coût de capital plus élevé maintenant et dans un avenir proche. »

Ali Hamed, associé général chez Crossbeam, a déjà constaté une augmentation des prix et s’attend à ce que celle-ci continue. Selon lui, les prêteurs de dette de capital-risque se concentreront de plus en plus sur l’efficacité du capital, la rentabilité des entreprises et d’autres aspects économiques plutôt que sur la valeur de l’entreprise par rapport à la dette. « Notre prédiction est que les prêteurs de dettes en capital-risque commenceront à s’appuyer moins sur la ‘valeur du prêt’ d’une entreprise et davantage sur la capacité à devenir rentable, l’efficacité du capital, etc. », a-t-il déclaré.

Alors, la dette de capital-risque est-elle vraiment en danger ou est-ce simplement une évolution nécessaire pour s’adapter à un nouveau contexte économique et financier ?

Source : Techcrunch

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