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Credits image : Daniel Cañibano / Unsplash

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Stripe montre un OKay !

Comme disait si bien Victor Hugo : « On n’épuise pas l’eau du puits en parlant beaucoup ». Et cette semaine dans le monde de la fintech, on n’a certainement pas manqué d’eau ! Entre acquisitions et expansions, on plonge dans les eaux tumultueuses des nouvelles fintech.

D’abord, étude du cas Stripe qui a fait parler d’elle cette semaine suite à l’acquisition d’Okay, une start-up oeuvrant pour le développement d’un logiciel d’analyse de la productivité des équipes d’ingénierie. Quoi de mieux pour Stripe que d’optimiser ses équipes d’ingénierie et ainsi attirer de nouveaux talents tout en continuant d’innover ? Il semblerait même que Plaid, que je vous rappelle être un concurrent de Stripe, soit l’un des clients d’Okay !

Stripe fait des vagues avec une acquisition et étend ses services de crédit.

Mais où est donc la logique me direz-vous ? Effectivement, parfois même les meilleures fintechs montrent des failles et cette acquisition prouve que Stripe ressent le besoin de renforcer et améliorer ses équipes d’ingénierie pour rester compétitive sur son marché. En somme, ils ont besoin de faire un Okay !

Stripe a également annoncé son intention d’offrir aux entreprises la possibilité de créer et distribuer des cartes de crédit virtuelles ou physiques pour leurs clients, leur permettant ainsi de dépenser à crédit. Ce nouveau service permet à Stripe de créer une nouvelle source de revenus, ainsi que d’offrir de nouvelles fonctionnalités de financement à ses clients, avec peu de coûts opérationnels supplémentaires.

Il ne nous reste plus qu’à espérer que cette semaine dans le monde de la fintech ne nous ait pas encore asséché le puits. Françis Blanche a d’ailleurs dit « quand on a pris une bonne décision, il n’y a qu’une chose à faire: ne surtout pas y penser, car cela signifie qu’on aurait pu même en prendre une autre. » Pour une entreprise compétitive comme Stripe, l’acquisition d’Okay et son extension au crédit semblent être des choix judicieux. Mais dans un univers aussi compétitif et incontrôlable, sommes-nous réellement en mesure de dire ce qui est réellement une « bonne » décision ?

Source : Techcrunch

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