a plane flying over a forest with trees in the background

Credits image : Ma Ti / Unsplash

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Wing : Peu de mousse à Wing-colarde !

« Dans de nombreux domaines, la livraison par drone semble toujours très lointaine en termes de commerce électronique à grande échelle. »

Mais dans certaines zones restreintes, le concept prend plutôt bien. Parmi ces lieux figure un petit campus satellite de Google niché dans les collines de Palo Alto. Les bâtiments, qui jouxtent les vastes bureaux de Tesla et HP, abritent plusieurs divisions de Google, dont Nest et Wing (un thème accidentel, on imagine).

Les drones à voilure fixe sont une vue régulière dans le minuscule espace aérien, grâce au dernier. Le parking avant est rapidement transformé en aire de lancement pour tester ces systèmes et divers mécanismes connexes. Wing a déployé une poignée de ses avions de livraison lors de ma visite cette semaine, en partie pour montrer son nouveau système.

Le marché que vise principalement la jeune entreprise est celui des zones densément peuplées proches de zones rurales, où la demande est immense.

Au cours de la pandémie, le ramassage en bordure de trottoir est également apparu. Comme beaucoup d’établissements ont dû fermer temporairement et que les consommateurs craignaient toujours de s’exposer, cela est devenu un terrain d’entente rapide et facile entre les achats en ligne et en magasin. Bien que cette méthode semblait être temporaire, de nombreux magasins ont conservé ce qui est devenu une option populaire, en particulier dans les marchés de banlieue.

Cela a permis à Wing de repenser une approche qui s’appuyait auparavant sur un employé présent pour la remise du drone. L’idée initiale était de simplement visser le système sur le panneau de ramassage en bordure de trottoir. Le mécanisme s’appelle AutoLoader, il est entièrement passif et mesure environ quatre pieds de haut. Une fois la commande passée, un employé l’emballe dans une boîte en carton avec une bague en plastique sur le dessus. Le chargement sur le support est simple : il suffit de placer les deux tiges de l’AutoLoader à travers une paire de trous dans la boîte.

Lorsque le drone arrive, il survole l’AutoLoader pour évaluer la situation et s’assurer que tout est en ordre. S’il rencontre un problème qu’il ne peut corriger (par exemple, si l’employé a oublié de charger le colis), il retournera au hub. Une fois que tout est correct, le drone abaisse une attache, tandis que les deux tiges garantissent qu’il ne dérive pas trop loin de la cible. Lorsque l’attache est correctement positionnée sous la boîte, elle commence à se rétracter, happant la charge utile comme un fil de pêche, l’élevant pour le voyage.

Les choses se sont bien passées lors de la première démonstration. Un employé de Wing a ouvert la boîte et j’ai pris la banane à l’intérieur, gâchant ainsi mon déjeuner. D’un coup, il m’est apparu qu’il y avait une meilleure façon de tester la cargaison. Alors, j’ai demandé à l’un des employés de Wing d’attraper un soda. Il l’a fait et il n’y avait pas de mousse qui explose (un signe positif). Il a pris une gorgée pour la postérité.

Alors, est-ce que les drones livreront nos commandes tous les jours ? Pour l’instant, ils « z’y croient » dur comme fer.

Source : Techcrunch

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