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Credits image : Mariia Shalabaieva / Unsplash

Intelligence Artificielle
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L’FTC ouvre le Bal des IAs avec OpenAI comme première danseuse : Une affaire de « Heu-res ou malheurs IA »

« S’il y a une IA dans la salle, qu’elle se dénonce ! »

La Federal Trade Commission (FTC) lance un regard suspicieux sur la salle des technologies. Au coin, OpenAI semble jouer avec son sac à dos, où se cache sans doute ChatGPT, son IA dotée de compétences conversationnelles. Selon les mouches du couloir technologique, la FTC enquêterait sur OpenAI pour des « déclarations fausses, trompeuses, dénigrantes ou nuisibles » formulées par la petite prodige. Va-t-on assister à la chute de la star de l’école des IAs ?

Selon le journal du coin, The Washington Post, la commission fédérale a envoyé une missive de 20 pages à OpenAI, demandant plus d’informations sur les plaintes soulevées. Rien de plus clair que le silence froid de la FTC lorsqu’on lui demande de commenter les potins. Comme on dit chez nous, « Chut, les murs ont des oreilles ! »

« Un silence qui en dit long, une IA qui pourrait en dire trop. »

La FTC, avec son nouveau Bureau des Technologies, se fait la lanceuse d’alertes dans le monde des technologies. Elle a présenté ses super-pouvoirs en détectant le « serpent à sornettes », rappelant les entreprises technologiques à l’ordre. Son slogan : « Gardez vos affirmations IA en échec, ou vous aurez affaire à la FTC ! » C’est clair, tout le monde est prévenu.

Mais OpenAI, le leader actuel du domaine, doit également être prêt à se justifier. Pourtant, une telle enquête ne tombe pas du ciel. Habituellement, une plainte formelle est portée à l’attention de la FTC, comme un guide sur la voie tortueuse des réglementations. On peut se demander alors ce qui a attiré l’attention de la FTC sur OpenAI, cette fois-ci ?

Une affaire judiciaire où un maire australien s’est plaint que ChatGPT l’avait accusé de corruption et de condamnation à la prison semble avoir éveillé la curiosité de nos investigateurs. Bien sûr, ce n’est qu’une hypothèse. Qui sait ? Peut-être que la FTC a simplement décidé de jouer aux détectives.

Publier de fausses informations pourrait toutefois s’apparenter à de la diffamation, du dénigrement ou simplement à des « dommages à la réputation », comme le mentionne la lettre adressée à OpenAI par la FTC. Ce qui est sûr, c’est que ChatGPT est maintenant sur le banc des accusés. En revanche, il est loin d’être évident que cette affaire aboutisse à une condamnation. Après tout, il faudra prouver que ces erreurs étaient intentionnelles.

En tout cas, que ce soit une simple bévue ou une invention de détails sur les personnes à grande échelle, il serait normal de demander à une entreprise de s’expliquer. Si le correcteur orthographique de Microsoft Word ajoutait « criminel condamné » devant les noms des personnes, nul doute que cela provoquerait un tollé. Je me demande si Cortana témoignerait en faveur de Word dans ce cas…

Et voilà, c’est déjà la fin de notre tour d’horizon de cette affaire mettant en scène OpenAI et la FTC. Vous savez ce qu’on dit : « Un IA en cache souvent une autre ! » Alors restez connectés pour la suite de cette saga technologique !

Source : Techcrunch

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