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L’avenir d’IBM est-il aussi sombre que ses récents rapports financiers le suggèrent?

Qu’est-ce que l’on peut-tirer des résultats récents d’IBM, dont les recettes ont chuté de 0,4 % par rapport à l’année dernière pour s’établir à environ 15,5 milliards de dollars ? C’est une question que beaucoup se posent après la publication de leurs résultats décevants cette semaine. Néanmoins, dans cet échec apparent, se cachent des succès qui méritent d’être reconnus.

Qu’y a-t-il de négatif ? Le chiffre d’affaires de l’infrastructure d’IBM a fortement chuté de 14,6 %, passant à 3,6 milliards de dollars. Cette baisse globale comprend également une chute de 30 % du chiffre d’affaires des systèmes Z d’IBM, activité principale de l’entreprise. Un coup dur pour une entreprise dont les systèmes Z ont été une bouée de sauvetage constante.

Alors, quel est le côté lumineux de ces sombres chiffres ? Les recettes logicielles d’IBM ont augmenté de 7,2 % pour atteindre 6,6 milliards de dollars, avec Red Hat en tête avec une augmentation de 11 %. L’achat de Red Hat pour 34 milliards de dollars en 2018semblant de plus en plus judicieux au fil des trimestres. Sans Red Hat, quel sort aurait été réservé à IBM?

« Sans ces hausses, les résultats financiers d’IBM auraient-ils été bien pires? »

Tout en ayant pour objectif de réaliser une croissance modeste, le PDG Arvind Krishna a échoué dans cette tâche. Est-ce vraiment surprenant compte tenu de la situation ?

Cependant, IBM ne perd pas espoir et continue de miser sur sa stratégie de cloud hybride. Avec l’objectif de devenir le partenaire de confiance pour gérer les infrastructures, où qu’elles soient, IBM prévoit une croissance de 3 % à 5 % et s’attend à une augmentation de son flux de trésorerie disponible d’1 milliard de dollars par rapport à l’année dernière, atteignant 10,5 milliards de dollars ce trimestre. Alors, toutes ces prévisions sont-elles en accord avec la réalité et le marché actuel?

De nombreux secteurs d’IBM contribuent à sa modeste trajectoire de croissance. En plus des revenus logiciels en hausse, sa division de conseil affiche également une performance solide ce trimestre avec une augmentation de 4,3 % par rapport aux résultats de l’année dernière pour atteindre 5 milliards de dollars. En outre, IBM a récemment dépensé 4,6 milliards de dollars pour l’acquisition d’Apptio, spécialisée dans la création de logiciels pour optimiser l’allocation des ressources, qu’elles soient sur site ou dans le cloud. Cette acquisition influencera-t-elle positivement les futurs résultats d’IBM?

Et qu’en est-il de l’IA? IBM voit l’IA comme un élément indissociable de sa stratégie hybride. En mai, l’entreprise a lancé une nouvelle version de Watson, une plateforme d’intelligence artificielle appelée Watsonx qui exploite la nouvelle génération de grands modèles linguistiques. Mais la question reste, est-ce que cet investissement permettra à IBM de rattraper son retard dans l’IA?

Source : Techcrunch

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