« Dans le monde des start-ups, l’évolution technologique est aussi rapide qu’un geek qui court vers la nouvelle version de leur jeu vidéo favori. » Bonjour à tous, et bienvenue dans l’échange de TechCrunch, un véritable bol d’air techy dans votre boîte mail chaque samedi. Asseyez-vous confortablement et venez explorer avec moi l’excitant monde des jeunes pousses tech !
Nous allons aujourd’hui aborder la récente acquisition de Speakeasy, qui ambitionne de rendre les API plus robustes. Ah, et nous avons aussi repéré un tour de table intéressant qui pourrait ajouter de la nuance dans le monde des start-ups dédiées à la thérapie contre la toxicomanie. Comme le dit souvent Anna, toujours à l’affût des dernières pépites du marché : « L’analyse et le popcorn sont au rendez-vous. »
« Dans cette danse des APIs, l’3 est toujours le nombre parfait. Or, actuellement, plus on est de fous, plus ça se complexifie… »
Revenons à nos moutons, ou plutôt, à nos APIs ! Speakeasy, cette adorable petite start-up, bosse dur pour simplifier la création et la distribution des APIs. Parce que oui, en tant que développeur, il faut avouer que la misère de passer la journée à expédier des APIs aux utilisateurs finaux peut rendre chèvre. C’est comme essayer d’envoyer une bouteille de message dans une eau déchaînée, sauf que c’est du code et que l’océan est numérique.
Cependant, pour les grandes entreprises ayant plus de 5000 développeurs, la surcharge d’APIs – soit « l’API Big Bang » selon Postman – est déjà une réalité accablante. En effet, 31% des répondants de ces grandes entreprises ont mentionné la gestion de trop nombreuses APIs ou microservices comme un obstacle majeur. Pensez-y comme essayer de jongler avec des tas de poupées russes, et chaque fois que vous croyez avoir fini, une autre plus petite se découvre.
Voilà donc où intervient Postman avec son acquisition judicieuse d’Akita Software. L’objectif ? Aider à naviguer sur la voie lactée d’APIs explosifs avec style et efficacité. De plus, avec l’émergence des APIs, le développement logiciel n’est plus que du « vas-y et répare », c’est aussi une opération de décryptage. Chaque équipe doit maintenant non seulement créer un logiciel, mais aussi comprendre son fonctionnement sous le capot.
Et voilà chers lecteurs, la prochaine fois que vous aurez à jongler avec une multitude d’APIs, souvenez vous qu’il existe des outils pour vous aider à naviguer dans ce chaos. Et peut-être que bientôt, le chaos de l’ingénierie ne sera plus la chasse gardée des ingénieurs en fiabilité de site. Qui sait, à l’avenir, nous pourrions tous devenir des maîtres du chaos numérique.
C’est tout pour aujourd’hui. Et n’oubliez pas, dans le monde de la tech, « la vitesse d’évolution compte, API ou pas API, là n’est plus la question… »
Source : Techcrunch
