two bullet surveillance cameras attached on wall

Credits image : Scott Webb / Unsplash

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« La technologie, c’est comme une lumière fluorescente. Ça éclaire beaucoup, mais ça donne aussi mal à la tête. »

« La technologie, c’est comme une lumière fluorescente. Ça éclaire beaucoup, mais ça donne aussi mal à la tête. »

Bel Lepe, ancien ingénieur logiciel chez Google, nous partage son inquiétude : le mariage contre nature entre des applications indispensables aux entreprises et des équipes de sécurité réticentes à leur donner le feu vert à cause de leur manque de conformité aux normes d’identité. En gros, c’est un peu comme essayer de faire entrer un CD dans une disquette.

Pour faire simple, sans rentrer dans des détails qui feraient fuir même les plus geeks d’entre nous, selon une enquête de l’Institut Ponemon, 52% des organisations ont fait l’expérience d’un incident de cybersécurité dû à des applications non conformes aux normes. Du coup, tout le monde est sur la défensive et soupçonne ces applications d’être des chevaux de Troie en puissance.

« Même des applications de confiance sont perçues comme des cavaliers de l’apocalypse cybernétique »

Heureusement, notre brave Lepe n’a jamais vraiment jeté l’éponge face à ce problème. Après avoir joué au saute-mouton à travers startups et organisations diverses, un vent de solution bien frais s’est levé. Il a fait la rencontre de Wizeline, un client prêt à casser sa tirelire pour mettre un terme à ce casse-tête des applications non standardisées.

Lepe, armé de l’esprit ravageur de Vidal González, a engagé une bataille pour créer une entreprise chargée de gérer l’accès aux applications non standard B2B. C’est ainsi qu’est née Cerby, qui vient de boucler une levée de fonds de 17 millions de dollars. Cerby est en pleine croissance, boostée par la crise, et ne révèle pas sa valorisation actuelle. Selon Lepe, elle a doublé depuis 18 mois.

En pratique, Cerby automatise des tâches, offrant aux équipes de sécurité le contrôle de l’intégration des employés aux applications. Ça permet de partager l’accès à des comptes de réseaux sociaux par exemple, sans avoir à échanger de mots de passe. C’est un peu comme donner les clés de sa boîte mail à un ami de confiance qui jetterait un coup d’oeil de temps en temps sans jamais loucher sur vos échanges coquins. Et en vrai super-héros du numérique, Cerby détecte les applications voyous et guide les utilisateurs vers des alternatives plus sécurisées.

Confronté à des concurrents comme Nudge Security et Strata Identity, Cerby compte se servir de l’IA pour renforcer ses capacités de détection de menaces. C’est comme si Cerby avait sa propre boule de cristal pour prédire et prévenir les potentiels dangers, offrant ainsi à ses utilisateurs des informations de sécurité à la pointe de la technologie.

Et ça fonctionne ! Cerby compte déjà 26 clients actifs, et vise à attirer des clients fédéraux d’ici fin 2024. Les fonds récemment levés serviront à accélérer le déploiement de l’entreprise, son go-to-market, ainsi que ses efforts de vente et de marketing. En dépit du ralentissement général de la technologie, Cerby reste résiliente. Autrement dit, même en pleine tempête, Cerby reste le phare qui guide les navires perdus vers un port sûr.

Source : Techcrunch

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