« La vie, c’est comme un jeu vidéo; si vous rencontrez des ennemis, c’est que vous allez dans la bonne direction. » Cette vérité s’applique encore plus aux start-ups, n’est-ce pas ? Et notre cher lecteur à Berlin semble être sur la bonne voie pour transformer son rêve technologique américain en réalité.
Il est revenu d’un voyage à Silicon Valley, le saint des saints de la technologie, avec une révélation : il avait besoin d’être basé aux États-Unis pour développer sa base de clients. Bien entendu, le hic, c’est le visa. Quels sont les meilleurs visas pour lui et sa famille ? Y en a-t-il qui permettraient à son mari de continuer à travailler et à faire progresser sa carrière ? C’est une question posée à Sophie Alcorn, une avocate spécialisée en immigration basée en Silicon Valley, que nous captons sur notre antenne TipToeTech !
« Quelles sont les meilleures options de visa pour moi et ma famille? Y en a-t-il qui permettraient à mon mari de continuer à travailler et à faire progresser sa carrière? »
Tout d’abord, kudos! Non seulement pour les succès commerciaux jusqu’à présent, mais aussi pour le courage de franchir ce grand pas et de vous relocaliser aux États-Unis. Et, oh boy, les options sont diverses et varient selon les circonstances, le calendrier et les objectifs de chacun. Pour faire simple, parlons des deux visas généralement utiles pour notre lecteur et sa famille.
L’option L-1A est plutôt en haut de la liste. Si vous avez travaillé pour votre start-up pendant au moins 12 mois consécutifs au cours des trois dernières années et que vous pouvez documenter cet emploi, votre start-up peut déposer une demande de visa L-1A pour les cadres ou les gestionnaires d’entreprise interne. Si votre conjoint veut vous accompagner, il peut demander un visa L-2, qui lui permet de travailler.
L’option O-1A est également envisageable. Il s’agit d’un visa d’habilité extraordinaire. Cependant, contrairement au conjoint dépendant du titulaire d’un visa L-1A, le conjoint dépendant du titulaire d’un visa O-1A n’est pas éligible pour travailler. Néanmoins, il peut travailler s’il trouve un emploi avec son propre employeur prêt à le parrainer pour un visa de travail.
Voilà une amusante vérité technologique pour vous : non, vous ne pouvez pas simplement « télécharger un nouveau visa » comme vous le feriez avec un logiciel. C’est un peu plus complexe que cela, mais avec les bons conseils, le processus peut être bien géré. Alors, cher lecteur, amusez-vous bien dans votre voyage vers le Technicolor US Dream !
Source : Techcrunch