windmill on grass field during golden hour

Credits image : Karsten Würth / Unsplash

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La fusion pas confusion : branchons-nous sur l’énergie de demain

« C’est pas du bidon ! L’énergie fusion n’est plus une illusion des films de science-fiction », aurait pu dire votre serviteur de l’aérospatiale. D’après l’industrie des startups, cette source d’énergie pourrait bien briller sur notre horizon dans les années 2030. Inimaginable ? C’est pourtant le pari d’ambitieuses jeunes pousses qui ont réussi à lever plus de 6 milliards de dollars ces dernières années. Bonne nouvelle, l’avènement de l’énergie fusion semble en bonne voie, encouragé par le progrès des semi-conducteurs, des aimants et oui, le vilain petit canard de la tech : l’intelligence artificielle.

Mais détrompez-vous, il y a plus d’un lapin dans le chapeau d’un magicien et plus d’une start-up dans la course à l’énergie fusion. Le jardin des innovations pullule d’idées pour le design des futurs réacteurs. Alors qui tiendra le flambeau du succès ? Désolé lecteurs impatients, avec une situation aussi dynamique, même notre boule de crystal floue.

« La course à l’énergie fusion est loin d’être terminée, mais les innovations des start-ups laissent présager un futur prometteur. »

« Nous sommes à deux doigts de parvenir à déployer la première centrale pilote d’énergie fusion dès les années 2030 », s’exclame Christofer Mowrey, CEO de Type One Energy. En voilà un qui n’a pas peur d’affronter le défi climatique ! Pourtant, les obstacles sont nombreux, et le potentiel de cette technologie reste encore bien supérieur à ses réalisations actuelles.

Et pourtant ! L’optimisme est au rendez-vous. Selon Thomas Forner, co-fondateur et CEO de Focused Energy, « notre compréhension de la fusion progresse à vitesse grand V ». Cette accélération rend les start-ups ambitieuses plus confiantes dans leurs calendriers de réalisation, malgré les déconvenues passées.

C’est une véritable course contre la montre qui s’est engagée. Les start-ups du secteur doivent tenir leurs promesses tout en restant innovantes et compétitives. Pour Christofer Mowrey, compte tenu des enjeux de commercialisation, la collaboration technique pourrait bien s’effacer devant le développement de chaînes d’approvisionnement exclusives.

Cependant, pas de panique, le monde académique restera très impliqué, cherchant des solutions à des problèmes présents et futurs. De plus, il continuera à former une nouvelle génération de scientifiques et d’ingénieurs pour répondre aux besoins croissants des entreprises. Reste que l’ultime défi de cette course n’est pas le manque de cerveaux, mais le manque de temps. En effet, comme le souligne Kieran Furlong, co-fondateur et CEO de Realta Fusion, « l’énergie fusion doit être commercialement viable d’ici le milieu des années 2030 si nous voulons avoir un impact sur le changement climatique et les besoins énergétiques de 10 milliards de personnes ».

Source : Techcrunch

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