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Credits image : Thibault Penin / Unsplash

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Max, le Chameau (AMC) dans la Tente du Streaming

« Pourquoi s’accrocher à la dernière saison de votre show préféré quand vous pourriez juste changer d’univers streaming ? » Cela pourrait résumer ce qui semble être la nouvelle stratégie de la plateforme Max. Dites adieu à votre bon vieux HBO Max et accueillez sous les spotlights, Max, qui est entrain de marchander du poids lourd en séries.

En effet, Max ouvre ses vantaux à des programmes estampillés AMC à partir du 1er septembre et ce, jusqu’au 31 octobre. D’après CNBC et Variety, ce mélange des genres compte plus de 200 épisodes comprenant des titres comme Fear the Walking Dead, Interview With the Vampire d’Anne Rice, et Killing Eve. Un régal digne d’une soirée pop-corn bien arrosée de binge-watching, je vous le dis.

« On se bat pour le canapé… et la télécommande! »

Pour ceux qui ne sont pas au courant, AMC dispose de son propre service de streaming, AMC+, qui peine à faire du cash et a du mal à suivre le rythme imposé par ses concurrents. En fait, au milieu des licenciements de l’année dernière, le président de la société, James Dolan, a envoyé un mémo assez malheureux aux membres du personnel en soulignant : « Nous pensions que les pertes dues à la coupure du cordon seraient compensées par les gains du streaming. Il s’avère que ce n’est pas le cas. » Dur à entendre. Et dur à écrire.

Sur Max, les programmes d’AMC seront dûment signalés et accessibles dans un onglet appelé « AMC+ Picks on Max ». Ils seront inclus dans les abonnements sans publicité et avec publicité, bien que les titres AMC+ ne comportent apparemment pas de spots publicitaires. Meredith Gertler, EVP d’HBO, estime que « la collection pop-up AMC+ est un excellent exemple de la manière dont [la société] peut utiliser des stratégies innovantes pour ajouter de la valeur à [son] offre de contenu. »

Cependant, ne vous attendez pas à des titres phares comme Mad Men ou The Walking Dead. Ni à Breaking Bad et Better Call Saul, qui sont déjà sous licence chez Netflix. Ah, la rude réalité des contrats d’exclusivités! Dommage quand on voit tout le potentiel de « Breaking Max » ou « Better Call Max ». Mais qui sait, un jour peut-être?

Source : Engadget

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