« En technologie, chaque byte compte! » Well, les amis, nous voici encore dans la mêlée, décodant les nouvelles de la sphère technologique pour votre plaisir. Allons directement au cœur de l’affaire.
Regardez, pas du coin de l’œil, mais bien en face, le financement du gigafactory de Verkor. Oui, vous avez bien lu, de l’argent bien réel qui alimente les rêves technologiques. Plus précisément, une coquette somme de 2 milliards d’euros (juste en dessous de 2,1 milliards de dollars), destinée à construire une usine de fabrication de batteries à Dunkirk. Attendez une minute, vous demandez-vous, mais d’où vient tout cet argent ? Bonne question !
L’argent est roi, et certains acteurs veulent royale.
Avant de plonger dans le terrier du lapin financier, parlons un peu de l’avenir et de la beauté des batteries. Quand je dis beauté, je ne parle pas seulement de l’éclat métallique des cylindres, mais du noble dessein de transition verte qu’ils incarnent. Les gigafactories ne crachent pas que des batteries pour les voitures électriques. Non, leur ambitieux élan déploie ses ailes vers bien d’autres horizons. Le recyclage, par exemple, illumine déjà ce futur prometteur sous un nouveau jour.
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à nos euros. Où sont-ils allés ? Eh bien, ces notes vertes ont trouvé leur chemin jusqu’à la gigafactory de Dunkirk de Verkor. Oui, vous l’avez bien compris, le financement provient de source extérieure. De qui exactement? Ça, mes amis, reste à dévoiler. Till then, restons branchés!
Et voilà, tout a une fin, même les meilleures batteries. N’oublions pas : peu importe l’octet que l’on mange, pourvu qu’on ait l’I.V.E.!
Source : Techcrunch