group of person walking on road carrying Pride balloons

Credits image : Tanushree Rao / Unsplash

BlockchainCryptoSociétéTechnologie
0

La diversité a-t-elle sa place dans le monde de l’investissement?

Est-ce que la diversité a une place dans le monde des investissements ? La Kauffman Fellows (KF), programme éducatif de premier plan dans la sphère des investissements qui brille par son réseau si bien établi de VCs, s’est posé cette question en 2020. N’est-ce pas étrange que le monde des startups et du capital-risque prenne en compte l’enjeu de la diversité ? Serait-ce une stratégie pour soutenir la croissance de la diversité au sein de leur cohorte de boursiers, où un groupe de ces derniers participe activement au processus de nomination et d’évaluation des futurs stagiaires ?

La Kauffman Fellows ne se limite pas à cette mission, elle cherche aussi à cultiver un secteur de capital-risque plus inclusif grâce à des sommets annuels. Le but ? Favoriser les investissements transfrontaliers dans les marchés émergents de la technologie en rassemblant son réseau d’investisseurs à travers divers écosystèmes d’innovation dans le monde. Alors, quel est l’impact de ces sommets régionaux exclusifs ?

Des sommets ont eu lieu dans des villes émergentes comme Mexico, Dubaï, Japon et Brésil. Cette année, KF a organisé son premier event en Afrique, avec plus de 300+ investisseurs de plus de 45 pays présents à Nairobi, au Kenya, en septembre. Parmi les participants, on pouvait compter plusieurs boursiers basés en Afrique, représentants de VC firms tels que Norrsken22, Helios Digital Ventures, CRE Ventures, Ingressive Capital and Atlantica Ventures. Mais alors, qu’est-ce qui attire tant les investisseurs locaux et mondiaux en Afrique ?

« L’Afrique attire de plus en plus d’investisseurs, grâce à l’expansion rapide de son économie numérique et à l’émergence de nouvelles entreprises prometteuses. »

Plusieurs facteurs peuvent expliquer cet enthousiasme pour le continent Africain. Premièrement, l’économie numérique de la région a connu une expansion significative ces dernières années et devrait dépasser les 700 milliards de dollars d’ici 2050. Il y a également eu une forte hausse des fonds de capital-risque, atteignant la barre des 5 milliards de dollars au cours des deux dernières années, favorisant ainsi l’émergence de cinq licornes. Est-ce que cela signifie que l’Afrique devient un acteur majeur dans l’écosystème des startups et du capital-risque ?

Des entreprises remarquables émergent dans les marchés dits « Big Four », à savoir le Nigeria, l’Egypte, l’Afrique du Sud et le Kenya, mais aussi dans des marchés de startups en plein essor comme le Ghana, le Sénégal, le Rwanda, la Côte d’Ivoire et le Maroc, entre autres. Alors, où en est-on réellement du marché des startups et du capital-risque en Afrique ?

TechCrunch a mené des interviews avec sept investisseurs internationaux présents au sommet qui comptait parmi ses invités le président du Kenya, William Ruto, et Meg Whitman, ex-présidente/CEO d’eBay et maintenant ambassadrice des États-Unis au Kenya. Continuons la lecture pour en savoir plus sur leurs points de vue sur la technologie africaine, les secteurs qui les intéressent et leurs activités d’investissement dans la région jusqu’à présent.

Alors que le monde numérique se transforme et adopte de nouvelles façons de travailler, d’interagir et de faire des affaires, soulève des questions essentielles : comment le paysage du capital-risque évoluera-t-il en Afrique? Quel rôle joueront des initiatives comme le KF dans la promotion d’une plus grande diversité et inclusion dans le secteur du capital-risque ?

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.