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Credits image : Possessed Photography / Unsplash

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Surfez sur l’Actualité A.I. : La Vague Artifact apporte un Vent Nouveau

« Qui craint l’IA n’a pas encore goûté aux joies de la superpuissance technologique », voici un dicton que pourrait déclamer Kevin Systrom, co-fondateur d’Instagram et de la start-up Artifact, qui embrasse la technologie de l’IA avec une verve enchantée. Si Artifact fait sensation, c’est en partie grâce à l’intelligence artificielle utilisée pour réinventer l’expérience de lecture des actualités.

Selon Sysfrom, chaque nouvelle technologie s’accompagne d’un lot de Cassandre prêts à prédire le pire. N’est-ce pas là l’inévitable tradition du progrès? L’internet, le PC, le mobile, tous ont évolué au gré des inquiétudes avant de délivrer leurs richesses pour l’humanité. Regardons plutôt comment ces technologies ont rendu les gens « super-puissants », dit-il.

Certes, il admet que des emplois ont disparu et le monde éducatif a dû s’adapter à de nouvelles manières d’enseigner (et tricher), mais n’est-ce pas là le nécessaire tribut du progrès? Quoi qu’il en soit, cela n’a pas arrêté Artifact d’innover dans le domaine foisonnant de l’information, au grand dam des critiques.

« Artifact donne un super-pouvoir à ses utilisateurs en offrant une expérience de lecture d’actualités personnalisée. »

Face aux voix qui mettent en garde contre les risques existentiels de l’IA, la position de Systrom se démarque. Son application croise l’IA et le journalisme, pour une expérience de lecture de l’actualité sur mesure. Nos yeux sont-ils trompés par le cliquable et le faux? Pas de panique, Artifact est là pour remédier à cela en résumant les articles, en reformulant les titres putaclics, et en proposant une sélection de news adaptée à chaque utilisateur.

Artifact use et abuse du pouvoir de l’IA pour mettre en exergue les meilleurs contenus, sans se soucier des articles qui génèrent le plus de clics. Que l’on s’entende, par « meilleurs contenus », on entend ceux d’auteurs inconnus qui font sensation sur l’app. Le talent ne se cachant pas toujours là où on l’attend, Artifact joue les détectives et déniche pour nous des rédacteurs de génie n’ayant pas encore atteint la notoriété.

Par ailleurs, l’IA d’Artifact ne se base pas seulement sur les taux de clics pour juger de la popularité des articles. Au contraire, Systrom a esquissé un appétissant contraste entre Artifact et une autre application (dont le nom a été soigneusement omis) qui, a-t-il suggéré, se contente de mettre en avant des histoires positives pour changer des actualités choc habituelles. Pourquoi se contenter du positif quand on peut viser l’intégrité éditoriale et une meilleure qualité des articles présentés à nos utilisateurs, a-t-il expliqué.

Que nous réservent alors les prochaines étapes de ce roleur de l’IA journalisme? Peu importe, car comme le dit Sysfrom, « Artifact est déjà bien lancé et roule sur une piste prometteuse , où la machine learning, les modèles de langage de grande taille (LLM) et le mobile sont les piliers de son potentiel succès. Alors, attachez votre ceinture, l’IA d’Artifact est fin prête à vous conduire vers l’information de demain! »

Source : Techcrunch

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