orange tower under white and blue sky

Credits image : Reinis Birznieks / Unsplash

Société
0

« Start-up: Levée de fonds ou Perdue la Banquise? »

“Créer sa start-up : un parcours du combattant ou une marche profitant de l’éclairage des autres ?” Voici le saladier des questions qui macère délicatement dans le vinaigre de l’expérience. À la question du ‘Comment créer sa première startup ?’, on pourrait remplir un Océan de suppositions, conseils et anecdotes. Mais laquelle de ces considérations concerne votre tranche de pain, votre situation ? Qui des conseils des experts au coin de la rue devriez-vous suivre ?

La solution à cette quadrature du cercle n’est pas aisée. Parfois, la sagesse recommande seulement d’écouter ceux qui sont passés par là, et d’en tirer l’irréprochable évidence. C’est dans cette optique qu’au TechCrunch Disrupt 2023, nous avons donné la parole aux fondateurs Phaedra Ellis-Lamkins de Promise, Ruben Harris de Career Karma et Ritu Narayan de Zūm. Ils ont ainsi partagé les expériences acquises durant le lancement de leurs sociétés et livré aux entrepreneurs présents quelques grains à moudre.

Chose amusante, ils ont tous révélé avoir opté pour la voie du capitalisme riqué afin de pouvoir résoudre les problèmes complexes et passer à la vitesse supérieure. Narayan, dont l’entreprise offre un service de transport aux étudiants, a expliqué qu’elle avait besoin de l’aide de personnes aguerries du secteur pour lui permettre de naviguer entre le monde de l’éducation et celui du transport. « Je me suis donc associée à des investisseurs comme Sequoia et SoftBank, et aujourd’hui Zūm est une série D postérieure. »”

« Du capital-risque à l’investisseur providentiel : la route sinueuse du financement des start-up. »

N’allons pas plus loin sans noter que les premiers chèques de Narayan provenaient d’investisseurs providentiels. Au tout début, de nombreux clients souhaitaient investir dans son affaire. Selon elle, la meilleure stratégie pour attirer un investisseur providentiel, c’est de demander des présentations et simplement de discuter de votre produit avec des gens. Un pari gagnant si on en croit Harris, qui a lui-même utilisé Twitter pour récolter des montagnes de billets verts.

Il n’a pas manqué de souligner l’importance de communiquer clairement sur ses intentions. « Mon objectif est de faire en sorte que, quand je ne suis pas en train de lever des fonds, je construis des relations avec des personnes qui, je l’espère, investiront dans le futur, » a-t-il déclaré.

Alors là voilà, cette recette secrète du succès pour jeune pousse ? Pas tout à fait, mais c’est probablement le meilleur ragoût que vous aurez dégusté. Et puis, pour clore sur une note plus légère: « Comme le disait si bien l’investisseur pingouin à la jeune start-up : ‘N’oublie pas, pour lever des fonds… ne perds pas la banquise !' ».

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.