« La meilleure façon de prédire l’avenir, c’est de le créer », disait Abraham Lincoln. Chez Google, ils ont décidé de prendre cet adage à la lettre, et ce sont nos adolescents qui vont en bénéficier ! Le géant de la tech a annoncé ouvrir son expérience de recherche IA générative (SGE pour les intimes) aux jeunes de 13 à 17 ans. Une nouvelle qui va faire des ravi(e)s !
Vous n’êtes pas familier avec le SGE ? Ne vous inquiétez pas, la technologie derrière ce sigle peut paraître intimidante, mais en fait il s’agit simplement d’une nouvelle manière, plus conversationnelle, d’interagir avec votre moteur de recherche préféré. Vous pouvez désormais discuter avec Google, lui poser des questions… et, même très bientôt, lui demander de faire vos devoirs… enfin, ça c’est en traînant un peu la patte.
Les adolescents américains de 13 à 17 ans pourront accéder à cette nouvelle fonctionnalité en se connectant à leur compte Google et en s’inscrivant à Search Labs. C’est un peu comme un cours de chimie, mais le seul risque ici est d’y prendre goût !
« Google ouvre la porte de son laboratoire d’IA à la génération Z. »
Bon, ce n’est pas la porte ouverte à toutes les fenêtres pour autant. Google a prévu des garde-fous contre les contenus inappropriés ou offensants. On parle ici de protections renforcées contre le contenu lié à des substances illégales ou soumises à des restrictions d’âge et le cyberharcèlement. Ils ne seront tout simplement pas proposés. Ainsi, même si l’IA ne dormira jamais, les parents pourront dormir sur leurs deux oreilles.
Et ce n’est pas tout ! Google introduit également une nouvelle fonctionnalité pour donner plus de contexte sur le contenu que les utilisateurs voient. C’est un peu comme si vous aviez un guide pour vous expliquer comment fonctionne l’IA. Et sincèrement, on ne crache pas sur un peu d’aide pour comprendre ces nouvelles technologies, on est bien d’accord ?
Mais Google ne compte pas s’arrêter là et prévoit d’améliorer l’expérience de recherche avec l’IA. Comment ? En entraînant l’IA pour détecter les requêtes fausses ou offensantes. Le but étant, bien entendu, de fournir des réponses de qualité et précises.
Alors, laissez-moi vous poser la question… À quand l’IA qui fait les devoirs à notre place ? À ce rythme, je dirai que ça n’est qu’une question de temps. En attendant, cela reste entre nous. Motus et bouche cousue… ou plutôt, doigts sur le clavier !
Source : Techcrunch
