gray and black laptop computer on surface

Credits image : Ales Nesetril / Unsplash

Technologie
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« Circular : quand la technologie adopte la danse de la circularité »

« Dans la jungle technologique, la loi de la circularité fait la loi. » Ainsi commence l’histoire fitrescente d’Circular, une startup en pleine bourrasque financière, avec une levée de fonds de 7,6 millions de dollars portant sa valorisation à 30 millions de dollars. Mais ne nous y trompons pas, Circular ne vise pas simplement à faire fructifier les billets verts, mais à proposer des produits électroniques haut de gamme en souscription, tout en maximisant leurs durée de vie et en leur offrant un second souffle loin des décharges publiques.

Fondée à Singapour en 2021, la démarche de Circular s’exporte désormais en Australie, offrant l’opportunité à de nombreux consommateurs de jouir d’un iPhone dernier cri, d’un iPad Pro ou encore d’un MacBook Pro sans avoir à vendre un rein (et un bonus, ça reste entre nous, pas de risque de se retrouver avec un troll dans son placard!).

Bien sûr, certains clameront surement que ça rime avec escroquerie, que ce modèle de souscription technologique, bien ancré en Europe, n’a pas sa place en APAC. Mais attention aux préjugés ! À en croire leurs modestes débuts, leur croissance a été multipliée par trois au cours des derniers mois et ils prévoient de continuer sur leur lancée, le Bijou-Singapourais ITEZ.SG mordant timidement la poussière sur leur passage.

Circular offre une nouvelle vie aux appareils électroniques, changeant la donne pour combattre le gaspillage électronique.

Nick Ramsay, CEO de Circular, est le premier à clamer haut et fort leur mission écologique. À l’invitation de cette danse du progrès, Circular offre une palette de services gratuits pour assurer la protection de vos appareils et propose des tarifs allant de 74$ pour un Apple iPhone 15 Plus à 94$ pour un Lenovo Thinkpad T14. Si ça ce n’est pas avoir le beurre et l’argent du beurre!

C’est bien beau tout ça, mais comment Circular arrive-t’elle à convaincre les derniers réticents, ceux pour qui la possession d’un objet est un statut social ? Ramsay a trouvé la réponse : il faut démythifier. Il rappelle que le profit qu’on croit réaliser en revendant notre ancien appareil est souvent une illusion, car nous avons tendance à sous-estimer la dépréciation et le coût des dommages accidentels. Et puis, ce n’est pas tous les jours qu’un prince nigérian nous propose d’acheter notre vieux téléphone pour on ne sait quelle raison obscure.

Et pour les vieux de la vielle qui ne veulent pas se séparer de leur machin-chose, Circular offre même une option d’achat, mais sans trop exagérer non plus… on ne va pas réinventer l’eau chaude!

Ramsay clôt donc sur cette note d’espoir, que désormais la technologie peut rejoindre nos habitudes musicales et cinéphiles, offrant une alternative écologique et économique aux enseignes traditionnelles. Alors la prochaine fois que vous aurez la tentation d’acheter le dernier gadget à la mode, souvenez-vous : pourquoi acheter quand on peut souscrire ?

C’est sur cette douce mélodie que je vous laisse, mes amis techophiles. N’oubliez pas, la vie n’est pas forcément plus belle ailleurs, mais elle est certainement plus ronde avec Circular.

Source : Techcrunch

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