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Credits image : Christopher Gower / Unsplash

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Des cocottes et des bits: comment la technologie transforme l’élevage de poules.

« La technologie peut être un coq au vin pour résoudre de nombreux problèmes! » Comme lorsque l’Allemagne, la France et l’Italie ont adopté l’an dernier des lois pour mettre fin à la pratique de l’élimination des poussins mâles d’un jour, considérés comme inutiles puisqu’ils ne pondent pas d’œufs. Mais ne vous trompez pas, ce n’était pas une manœuvre pour créer une armée de poules; cet effort visait à encourager les entreprises de technologie à inventer des méthodes permettant de déterminer le sexe des poussins avant leur éclosion.

Les inventeurs ont été astucieux comme un renard et ont recouru à l’imagerie hyperspectrale, capable de détecter le sexe des poussins en se basant sur la couleur de leur plumage au 13ème jour d’incubation. Le système entièrement automatisé « CHEGGY » a alors fait son apparition dans les couvoirs commerciaux.

Signalons les poules de luxe qui, grâce à des systèmes sophistiqués, peuvent détecter différents aspects des œufs comme leur fraîcheur, des jaunes brisés ou des fissures dans la coquille avec une précision effarante de 97%.

« Toutefois, ces processus donnent l’impression d’être plus lents qu’une tortue sur une piste de danse. »

Alors, la start-up basée à Munich, Orbem, est entrée sur la piste de danse pour résoudre ce problème et accélérer le rythme. En utilisant la technologie de l’IRM issue de la recherche doctorale, Orbem a mis au point un scanner industriel couplé à une plateforme basée sur l’IA, permettant aux couvoirs de déterminer le sexe d’un œuf sans le toucher et de manière non invasive.

Et voilà! Ce n’est pas une blague! Orbem prétend pouvoir scanner un œuf en une seule seconde, soit beaucoup plus rapidement que les processus existants. Après avoir scanné quelque 20 millions d’œufs, Orbem prétend même avoir atteint la rentabilité. C’est comme trouver le trésor au bout de l’arc-en-ciel!

Et déjà, ils envisagent de balayer plus large que les champs de poules. Ils projettent d’appliquer cette technologie d’imagerie à d’autres domaines comme les noix pour détecter les parasites, évaluer la qualité des noix à l’intérieur de leur coquille, d’autres échantillons biologiques comme des espèces végétales et même le corps humain! Considérez-vous impressionné comme je le suis?

En effet, cet engagement a clairement indiqué qu’une union entre IRM et IA est le nouveau baiser de mariage à suivre dans les années à venir. Car selon GlobalData, il y a eu plus de 710 000 brevets « IA pour IRM » déposés et accordés dans l’industrie des dispositifs médicaux au cours des trois dernières années. Et le marché de l’IA dans l’imagerie médicale pourrait atteindre 29,8 milliards de dollars dans le monde d’ici 2032, selon Allied Market Research.

En résumé, la technologie ne nous a pas seulement fait faire un pas de géant dans l’univers de l’élevage, mais elle a aussi ouvert la voie à de nouvelles idées et de nouvelles innovations. Donc, que vous soyez technophile, investisseur ou simplement curieux, gardez un œil sur cette alliance entre IRM et IA. Ce n’est certainement pas une histoire pour endormir les poules!

Source : Techcrunch

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