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Credits image : Markus Spiske / Unsplash

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Le bureau du futur se dessine-t-il dans l’essor des startups à San Francisco ?

Vous souvenez-vous qu’il y a une décennie, Pear VC, alors une petite nouvelle entreprise de capital-risque, opérait depuis un bureau discret à Palo Alto, animé par de l’art brillant et thématique informatique? Présentement, cette entreprise ayant fermé son plus grand fonds en mai, a récemment conclu une transaction pour sous-louer un espace bureau de 30 000 pieds carrés dans le quartier Mission Bay à San Francisco. Le sous-locataire ? Le géant du stockage de fichiers, Dropbox. Comment expliquer cette tendance ?

Cela est reflété par de nombreuses entreprises en plein essor qui investissent de plus en plus d’espace physique à San Francisco, alors qu’une génération antérieure d’entreprises diminue sa superficie physique. Est-ce un signe d’une évolution dans le monde du travail ?

De nouvelles firmes affluent à San Francisco, prenant d’assaut l’espace des géants établis.

La semaine dernière, d’après le San Francisco Chronicle, le créateur de ChatGPT, OpenAI, a sous-loué deux immeubles totalisant 486 600 pieds carrés à Uber. Signe d’une course à l’espace de bureau ou simple opportunité ? Et quid d’Anthropic, rival d’OpenAI, qui a signé un important contrat de sous-location pour occuper l’ensemble de l’immeuble de 250 000 pieds carrés au centre-ville de San Francisco, autrefois le siège de Slack ? La croissance explosive justifie-t-elle ces investissements massifs ?

Salesforce, qui a acquis Slack en 2021, est un investisseur dans Anthropic. Pendant ce temps, le co-fondateur de Pear VC, Pejman Nozad, a rédigé l’un des premiers petits chèques à Dropbox alors qu’il venait d’arriver aux États-Unis et vendait des tapis persans. Ce sont là des indications d’une saine collaboration dans le secteur technologique ?

Mais ces sous-locations ne commencent pas nécessairement par des accords de principe. Interrogé pour savoir si Nozad avait ciblé le nouvel espace de Pear en raison de son lien avec Dropbox, il écarte cette idée. Pour Pear, l’acquisition du bureau, qui peut accueillir plus de 200 bureaux, présentant plus de 20 salles de conférence et d’appel et d’un espace événementiel dédié, était une affaire très intéressante. Dropbox a-t-il donc opté pour une stratégie de monétisation de ses espaces de bureau sous-utilisés ?

Il semble que c’est le bon moment pour conclure un accord de sous-location si vous êtes une entreprise bien financée en plein essor. L’immobilier commercial à San Francisco offre-t-il alors des opportunités inédites pour ces entreprises technologiques ?

En fin de compte, l’essor de ces jeunes entreprises ne réside-t-il pas dans leur capacité à s’étendre et à se développer, à bâtir de solides fondations, prenant ainsi le relais des géants technologiques précédents ?

Source : Techcrunch

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