« Si la crypto-monnaie nous avait dit de sauter d’un pont, on vérifierait d’abord si c’est un pont blockchain pour atterrir sur de la mousse de stablecoins! »
Circle, le parrain fiduciaire des USDC, le fameux stablecoin dont la constance nous donne le tournis, fait un comeback plus attendu qu’un nouvel épisode de « Friends ». Après avoir rompu avec sa belle SPAC vers la fin 2022 – une relation plus instable que les liaisons amoureuses à Hollywood –, notre crypto-entrepreneur envisage maintenant, en coulisses, selon des sources plus anonymes que les créateurs de Bitcoin, de nous séduire avec un IPO en 2024, comme nous informe Bloomberg.
Mais attendez, pourquoi Circle sort-il du bois en pleine tempête crypto? La réponse est simple: les stablecoins, ces petits bijoux de stabilité dans le chaos des cryptomonnaies, sont de plus en plus incontournables dans l’économie décentralisée. Et tel un alchimiste moderne, Circle transforme les dollars physiques en pièces d’or numériques tout en profitant joyeusement des taux d’intérêt qui grimpent – plus fun qu’un épisode de « Squid Game » pour les comptables!
« L’affaire est stable: Circle fait le pari sur un IPO que même les fluctuations du marché cryptographique ne peuvent ébranler! »
Les stablecoins, pour ceux qui se demandent si ça a un lien avec les chevaux, pas vraiment. L’idée, c’est d’avoir un crypto-token qui a autant de valeur qu’un vrai billet vert, sauf qu’il est plus numérique que votre profil Facebook. On pourrait s’esclaffer sur l’ironie de numériser des dólares, façon « retour vers le futur », mais ce qui nous intéresse ici, c’est de comprendre pourquoi un IPO de Circle en 2024 fait autant sens que mettre de la crème solaire pour regarder un lever de soleil.
Avec leur look de monnaie fiduciaire, mais en version virtuelle 2.0, les USDC de Circle sont prêts à faire leur show sur Wall Street. Mais attention, le monde des cryptos est aussi prévisible qu’une série Netflix – on pense connaître la fin, mais il y a toujours un twist. Et Circle semble prêt à sauter le pas, quoi qu’en disent les sceptiques et les amateurs de montagnes russes financières.
Source : Techcrunch