« En matière de finances, partager c’est se soucier—mais c’est aussi compliqué AF! », dit chaque créateur, partout. Et si le monde de la création est une vaste tapisserie de collaborations, se partager la monnaie c’est souvent comme répartir une pizza aux quinze fromages ; tout le monde veut sa part, et personne n’est d’accord sur la taille des morceaux. Heureusement, Mozaic, anciennement Jammber, est là pour nous aider à trancher la pizza financière sans se prendre la tête.
Avec une levée de fonds de 20 millions de dollars en série A menée par la patrouille de Volition Capital, Mozaic ratisse le terrain comme un champion. Avec plus de 27 millions dans le cochon et un lancement remontant à 2015, Marcus Cobb et Rachel Knepp, les Indiana Jones de la gestion musicale, ont déterré des outils allants de la gestion des crédits jusqu’à la billetterie. Et pendant que les investors, armés de leurs chéquiers, chantent à tue-tête, Mozaic pilote la scène avec brio.
Cobb, le CEO, nous souffle à l’oreille qu’à l’origine Mozaic, alors inspiré par les backstages de B2B, a viré de cap en 2020, poussé par les vents capricieux de la pandémie. Leur nouveau hit ? La gestion de paiements collaboratifs, qui semble connaître un succès chart-topping digne d’un tube estival.
« Quand une simple PowerPoint révolutionne votre business et attire plus de 60 intentions d’achat en un mois, c’est que vous avez trouvé le bon rythme. »
Exit PayPal et autres Venmo, Mozaic veut que tous les artistes du globe puissent toucher leurs royalties sans drame. Leur API est aussi branchée que votre ado avec ses écouteurs, capable de se greffer à Spotify, YouTube, Twitch, et plus encore.
Comment ça marche, demandez-vous en remuant au rythme des beats financiers ? Imaginez des contrats intelligents (sans blockchain, ouf!), qui répartissent automatiquement les gains en fonction des accords du projet. Simple comme un rap de Kanye.
Les stars de la musique touchent directement leurs dues, enfin aussi vite que leur pouce peut cliquer pour s’inscrire. Avec ses frais de gestion, qui swinguent sur un modeste 1.99% + 1$, Mozaic se taille une réputation de gestionnaire honnête, sans fausses notes.
Selon certains insiders, les systèmes des gros bonnets de l’industrie sont aussi old school que votre Walkman ; laborieux et pas transparents pour un sou. Mozaic pourrait donc bien être la playlist de demain, à condition de danser en rythme avec les systèmes legacy.
Pendant que Mozaic envisage déjà d’étendre son influence à tous les créateurs du web, de YouTube aux streamers Twitch en passant par les écrivains de newsletters, l’entreprise affirme être déjà cashflow positive. Et avec son app mobile et son extension Chrome en coulisse, Mozaic se prépare à ajouter des splits partout, comme des tags Facebook mais en plus lucratives.
En somme, Mozaic transcende l’industrie musicale et semble prêt à harmoniser la gestion des paiements collaboratifs sur toutes les scènes. Larry Cheng de chez Volition Capital, aussi soucieux que votre banquier avant les impôts, confirme : pour les créateurs et les artistes, cette solution pourrait être le solo qui les fait passer dans les big leagues. Et comme dirait le musicien qui tient la caisse, avec Mozaic, c’est bien la première fois que les comptes se règlent en musique!
Source : Techcrunch