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Credits image : Thomas Kelley / Unsplash

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Le Cybertruck de Tesla : quand la foudre frappe, le porte-monnaie trinque !

« Comme un silicium sur le gâteau, la cerise Tech vous sert l’article que vous attendiez! » Après une attente à rallonge, dignes des plus épiques files d’attente à la sortie d’un nouvel iPhone, Elon Musk a finalement illuminé la scène, pas tout à fait assez si vous voulez mon avis, pour remettre les clés du tant attendu Cybertruck EV à une poignée de propriétaires aussi patients que les fans d’un certain album de rap français. Et pour ceux qui lorgnent sur ce mastodonte électrique, le portefeuille devra être aussi costaud que le camion, avec des tarifs oscillets entre 60 990 $ et le modeste somme de 100 000 $. Ça fait une belle cotelette à griller sur le barbecue de la décarbonation ! Mais tout n’est pas si noir, un configurateur en ligne est là pour vous donner l’illusion que vous avez vraiment le choix.

Révélés lors de cet évènement qui sent bon la testostérone et la tôle pliée, les chiffres de performances vous feront tourner la tête plus vite que le Cybertruck n’atteint les 60 miles/h — et croyez-moi, c’est plutôt réactif pour un engin qui a probablement inspiré le design du char dans « Tetris ». À basse altitude, le petit poucet motorisé arrière unimoteur vous emmènera sur 250 miles de bonheur, tandis que le modèle 4×4 énervé sort l’artillerie lourde avec 600 chevaux et une capacité de remorquage tout bonnement herculéenne. Et pour la crème de la crème, le Cyberbeast (doux Jésus, qui a donc validé ce nom ?), ça va de soi, c’est trois moteurs, une autonomie qui fait rêver et une vitesse de pointe qui fera trembler le bitume.

Le Cybertruck, entre performance brute et démesure électrique, peut désormais être commandé, si tant est que vous ayez une petite fortune en réserve.

Chargement supervitesse au programme, avec une capacité à engouffrer de l’énergie plus vite qu’un ado devant son bol de céréales un samedi matin, et une interface ludique de commande prête à recevoir vos 250 dollars de dépôt — qui, je tiens à le souligner, sont remboursables, un peu comme votre pari que l’on ne verrait jamais ce camion sur la route.

Si l’on met de côté cette fâcheuse petite anecdote des vitres qui se transforment en toiles d’araignée sous l’effet d’une balle lancée avec autant de délicatesse qu’une catapulte du Moyen Âge — quelle idée aussi de jouer au baseball avec un véhicule ! — on assiste à un spectacle marketing millimétré, où Elon Musk jongle avec les accessoires aussi bien qu’un vendeur lors du Cyber Monday. Ah, on me souffle dans l’oreillette que, malheureusement, les Cyberquads et motos électriques promis ne sont toujours pas de la partie. Cela dit, pour consoler les fans, on peut toujours se rabattre sur un jouet radiocommandé à 400 $.

Dans la grande tradition de Tesla, un show grandiose a été mis en scène : courses de dragsters où le Cybertruck fait la leçon à une Porsche, tandis que les compétitions de remorquage remettent en question la physique telle que nous la connaissons. Le Cybertruck broie littéralement ses adversaires dans des épreuves qui, surprise, surprise, voient Tesla triompher.

Source : Engadget

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