“Ils ont trouvé un équilibre dans le cosmos, et nous, on galère juste pour capter du réseau!” Ah, les astronomes et leurs découvertes qui nous font relativiser nos petits soucis terrestres. Figurez-vous qu’à quelque 100 années-lumière d’ici, dans la constellation de la Chevelure de Bérénice, six mini-Neptunes se déhanchent en cadence autour de leur étoile. C’est un peu comme si la danse des planètes avait été chorégraphiée par une intelligence spatiale supérieure. Et vous savez quoi ? On a même droit à une animation sur fond musical de cette valse cosmique.
Ce qui est incroyable avec cette famille planétaire, mise à part leur goût pour le ballet spatial, c’est leur phénomène de “résonance”. En gros, elles sont toutes synchro comme si elles avaient réglé leurs montres sur la même heure cosmique. Mais accrochez-vous, seulement 1% des systèmes sont encore à l’heure après des milliards d’années. Autant dire que tomber sur une telle précision, c’est comme gagner à la loterie interstellaire !
« On estime qu’environs un pour cent de tous les systèmes restent en résonance, et encore moins montrent une chaîne de planètes dans une telle configuration. »
Allons donc vérifier cette synchronisation hors du commun sur la vidéo ci-dessous :
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Si vous n’avez pas accroché au dernier tube de l’été, cette alarme mélodieuse vous annonce le passage d’une planète, à des light-années de déjà-vu. Ensemble, ces six planètes réalisent un tour de piste stellaire à des intervalles quasi-magiques, créant des harmonies orbitales plus précises qu’une horloge suisse.
La découverte de ce système solaire pas comme les autres remonte à 2020 grâce à TESS, un satellite chasseur d’exoplanètes de la NASA. Vous auriez vu les têtes des scientifiques quand ils ont réalisé la chorégraphie ! Officiellement, ce sont les observations avec le satellite Cheops de l’Agence Spatiale Européenne qui ont permis d’élucider les relations interplanétaires. La cerise sur le gâteau ? On vient de publier une étude toute fraîche dans le journal Nature pour ceux qui aiment les détails croustillants.
Mais ces petites sœurs de Neptune, aussi charmantes soient-elles, restent un mystère sur pattes… ou plutôt en orbite. On ne sait pas encore de quoi elles sont faites. Potentiellement rocheuses et gazées, ou peut-être même aquatiques avec une atmosphère façon hammam. Les scientifiques s’arrachent les cheveux à comprendre leur évolution et leur composition.
Pour finir, ces six princesses du bal spatial ne sont pas seulement un spectacle pour nos yeux ébahis. Non, elles pourraient aussi nous aider à percer les secrets de l’évolution planétaire et un jour, qui sait, à découvrir des conditions propices à la vie extraterrestre. Oui, le cosmos ne cesse de nos surprendre — et on est là, un peu comme des enfants devant un magicien, sauf qu’ici ce n’est pas de la magie, c’est de la science !
Source : Mashable