eiffel tower in paris during daytime

Credits image : Vinicius Eloy Bailo / Unsplash

Astronomie
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Mars en panorama, la tête dans les étoiles et Phobos en photobomb !

« L’espace, l’ultime frontière… de l’imagerie panoramique. » Bienvenue à bord du vaisseau Odyssey de la NASA, effectuant des escapades artistiques autour de Mars depuis deux décennies. Vous pensiez que les selfies en orbite terrestre étaient cool ? Attendez de voir le portrait de famille que Mars a pris depuis 250 milles au-dessus de son visage rougeâtre boudeur. Le hic ? Pas de perches à selfie autorisées dans l’espace.

C’est à cette altitude vertigineuse que l’Odyssey a capturé des vues panoramiques aussi vastes que les plans de conquête spatiale de certains milliardaires. Cette séance photo spatiale avait un objectif scientifique: jeter un œil généreux sur la pittoresque atmosphère martienne, avec ses nuages de glace de dioxyde de carbone et ses tempêtes de poussière pour lesquelles aucun aspirateur terrestre n’est prêt.

Parmi les accessoires de ces tableaux spatiaux : Phobos, la lune photogénique de Mars qui s’est incrustée sur les images. Fidèle à son look lunaire, Phobos a réussi son photobomb sans effort (ni gravité). Et croyez-le ou non, adapter l’objectif pour capturer ce spectacle n’était pas une « petite rotation » pour l’équipe d’ingénieurs, mais un remake complet de la scène.

Oui, ces scientifiques déchaînés ont pris Mars sous tous ses angles, y compris la troisième dimension.

Après trois mois de répétitions, l’orbiteur a finalement pirouetté vers l’horizon et est resté figé pour une orbite entière – une prouesse, alors que normalement le vaillant vaisseau scrute le sol martien à la recherche de pistes pour « Où est Charlie version extraterrestre ». Et comme un bon spectacle ne s’apprécie qu’avec un programme soigné, vous devriez consulter les « Related Stories » pour compléter votre collection d’anecdotes sur Mars et satisfaire votre curiosité astrale.

Mais la vraie star des coulisses, c’est la gestion des coups de théâtre : orienter Odyssey pour capter les rayons du soleil comme lors d’une bonne séance de bronzage (tout en protégeant les instruments délicats) et jongler avec les heures de silence radio pour que tout le monde revienne à la maison sain et sauf.

Que nous apprend cette séance photo intersidérale ? Que Phobos pourrait être un intrus capturé ou un morceau originel de Mars égaré après une chicane cosmique. En tout cas, ces nouvelles prises de vue ajoutent non seulement du piquant à nos connaissances planétaires, mais aussi alimentent les débats des noctambules sur l’origine des satellites snobant.

Alors, que nous dit cet exploit photographique ? Qu’il y a toujours une autre perspective à explorer, un autre angle à considérer. Et qui sait, peut-être qu’un jour, on pourra envoyer une carte postale depuis Mars avec au dos : « Wish you were here… to adjust the satellite dish. » C’est ça, la magie spatiale : l’inconnu rencontre l’art de la perspective. Et croyez-moi, même les pixels s’accordent à dire que ça dépasse largement le cadre !

Source : Mashable

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