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Credits image : Hyundai Motor Group / Unsplash

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Atomic et l’alchimie moderne : Quand l’IA forge le futur

« On ne change pas une équipe qui gagne, mais quand l’intelligence artificielle s’immisce, même les alchimistes du métal tiquent! » – Anonyme, hier, probablement.

Si Peter Thiel avait un peu trop simplifié le monde en séparant les atomes des bits, les petites têtes brûlées d’Atomic Industries ont décidé de faire la passe à dix entre ces deux univers. Un peu comme si les années 50 s’étaient greffées sur 2020 pour accoucher d’une startup avec une ambition débordante : automatiser la fabrication d’outillage et de moules, sans même sourciller devant la complexité quasi-surnaturelle de certains moules d’injection. Fragile alchimie, direz-vous ? Peut-être que non…

Ces joyeux drilles nous proposent ni plus ni moins qu’une IA capable de jouer aux apprentis sorciers, transformant les directives des chocolatiers (oui, les clients, suivez un peu !) en outils magiques capables de créer… et ce, avec une précision presque diabolique. Les moldus du métal ont du souci à se faire : chez Atomic, on semble prêt à réinventer leur Grimoire.

Les tours de magie d’Atomic pourraient bien révéler un futur industriel résolument high-tech.

Pourtant, ne nous voilons pas la face, les apprentis sont d’abord de petits gremlins avant de devenir des Gandalf de l’usinage. Mais alors, pouvons-nous faire confiance à cette IA débutante, qui pourrait apprendre à maîtriser le feu sacré de l’optimisation, jonglant entre coût, complexité, et délais ? À en croire Aaron Slodov, le CEO, oui, et il semblerait même que cet apprentissage soit crucifié… euh, cruciale pour une révolution industrielle.

Les investisseurs semble-t-il, sont sur la même longueur d’onde, ou plutôt sur la même chaîne de blocs : 17 millions de dollars récoltés en pépites d’or virtuel, pour transformer un rêve métallique en réalité. Entre simulations, apprentissage sur le tas et collecte frénétique de data, la forge d’Atomic devient une véritable épopée moderne, avec, en prime, la construction d’une super intelligence (en super calculateur) parce que, soyons honnêtes, Amazon Web Services semble aussi démodé qu’une VHS pour nos magiciens 2.0.

Le décor est planté, c’est dans le Midwest, loin des paillettes siliconées de la Valley, que ces nouveaux Merlin du moule posent leur chaudron. L’enjeu ? Ni plus ni moins qu’une renaissance de la base industrielle américaine, avec en filigrane, l’espoir de voir les ouvriers des usines propulsés dans un futur où leur productivité ferait pâlir les programmeurs les plus caffeinés.

Et si cet arrangeant arrangement d’atomes et de bits pouvait concrètement transformer le rêve en réalité ? « Imaginez des usines naissant comme des champignons, produisant tout et n’importe quoi, avec la vitesse d’une start-up et le coût d’un food-truck. Qu’est-ce que vous fabriqueriez ? Où iriez-vous bâtir votre empire ? » Les possibilités semblent aussi infinies que l’espace entre deux atomes enchâssés dans leur ballet quantique. Et là, chère lectrice, cher lecteur, je vous laisse imaginer la suite, parce qu’avec Atomic, on est plus dans « l’ère de l’apprenti » que dans « la gêne de l’apprentis »… Oui, je sais, elle était atomique celle-là!

Source : Techcrunch

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