« L’argent ne pousse pas sur les arbres, mais Bujeti pourrait bien fertiliser le champ de l’entrepreneuriat africain! »
Le petit poucet des fintechs africaines, Bujeti, vient de voir son compte en banque s’épaissir grâce à une levée de fonds de 2 millions de dollars. Menée par la crème de la crème des investisseurs, dont Y Combinator, cette substantielle enveloppe va propulser la plateforme de gestion de dépenses d’entreprise vers des sommets inexplorés. Entre cartes corporatives et rapports de frais, Bujeti promet de transformer la gestion financière des entreprises plus rapidement qu’il ne faut pour dire « budget ».
Pratique comme une paire de ciseaux dans un bureau, la platforme permet de contrôler les dépenses avec une précision chirurgicale. Leurs patrons pourront dormir tranquilles pendant que Bujeti répartit les dépenses par tête de pipe, établissant des limites et des autorisations aussi facilement qu’on trierait des haricots verts. Et si ce n’était pas assez, Bujeti étale déjà ses plans d’avenir comme une carte de restaurant, promettant des lignes de crédit pour les PMEs et de nouveaux produits sur mesure pour les grandes entreprises.
En drainant les finances des entreprises africaines, Bujeti pourrait bien devenir l’irrigation tant attendue pour un marché en pleine croissance.
Cossi Achille Arouko, ce maestro de la finance et capitaine du navire Bujeti, n’en est pas à son coup d’essai. Après une danse endiablée avec la startup Paystack, notre visionnaire a accouché de Bujeti, l’enfant prodige, dès avril 2022. Avec son fidèle bras droit, Samy Chiba, ils nous concoctent une application qui gère les dépenses avec plus d’aisance qu’un serveur jonglant avec des assiettes.
Les cartes d’entreprises, c’est comme le dernier gadget à la mode : tout le monde en veut une, mais en Afrique, c’est plus compliqué à obtenir qu’un rendez-vous chez le dentiste. Bujeti arrive donc à la rescousse, prêt à endosser le rôle de la bonne fée des finances, en distribuant ces précieux sésames tout en imposant l’ordre et la sécurité dans les dépenses.
La plateforme n’est pas juste une belle vitrine, elle fait tourner la boutique avec un brio qui ferait pâlir d’envie un chef d’orchestre. À peine huit semaines après son lancement, Bujeti fanfaronne déjà avec presque mille entreprises à son bord, prêtes à naviguer sur la mer agitée du commerce africain.
Face à des concurrents tels que Duplo et Flex Finance, Bujeti campe sur ses deux pieds, affichant ses super-pouvoirs en matière d’automatisation et de gestion multi-entités. Ce couteau suisse de la finance s’apprête également à parler plusieurs langues monétaires, déployant un éventail de possibilités internationales aussi large que le sourire d’un investisseur en voyant sa start-up décoller.
Et pourtant, c’est sans compter sur la cerise sur le gâteau : des retours d’investisseurs enjoués et confiants, prédisant à Bujeti un futur aussi radieux que la chevelure d’une star de cinéma au Festival de Cannes. En effet, avec un tel élan, Bujeti et son équipage naviguent vers un horizon financier où les pirouettes comptables et les jongleries de dépenses seront de l’histoire ancienne.
Source : Techcrunch