gray and black laptop computer on surface

Credits image : Ales Nesetril / Unsplash

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Surfaceink et PwC : Quand l’audit rencontre le circuit

« Quand on mélange la technologie et les affaires, ça donne souvent un cocktail détonnant, mais parfois, c’est plus un smoothie de complémentarités ! » Parlons aujourd’hui de Surfaceink, ce partenaire de développement matériel discret mais ô combien essentiel de la Silicon Valley, qui vient juste de se faire croquer par le géant du consulting et de l’audit PricewaterhouseCoopers (PwC). C’est l’histoire tech de Cendrillon qui rencontre son Prince Charmant en complet-cravate, une alliance qui révèle toute l’évolution du monde des bidules et des gadgets.

L’art de la discrétion ? Chez Surfaceink, on connaît. Cette boîte qui a démarré dans l’ombre d’Apple, à l’époque où Steve Jobs revenait aux commandes, est restée loin des projecteurs. Pas de levée de fonds tapageuse pour eux ; ils ont préféré le bon vieux système D et l’innovation dans le garage (enfin, façon de parler, vu leurs clients prestigieux). Chez Surfaceink, on prototype, on designe, on test de l’acoustique… Bref, un véritable labo de Q pour les gadgets de demain!

Et c’est toute l’équipe, une cinquantaine de personnes dans la baie de San Francisco, qui fera dorénavant partie de la grande famille de PwC. Ce qui inclut le CEO-fondateur Eric Bauswell, qui suit sa créature dans cette nouvelle aventure. Les contrats en cours seront poursuivis et on lorgne déjà sur de nouveaux, toujours dans cette vision de synergie d’entreprise.

Surfaceink, le discret atelier de l’innovation tech, rejoint la grande maison PwC, pour le meilleur des gadgets et des stratégies d’entreprise.

Les détails croustillants sur la nature des contrats actuels de Surfaceink sont gardés secrets, mais un petit tour sur leur site révèle qu’ils ont côtoyé l’élite technologique : Amazon, Apple, Atari (pour les nostalgiques), Dell, Facebook, Google et j’en passe. Bref, un cv qui fait rêver ou trembler, selon le côté du miroir où l’on se trouve.

On pourrait croire que PwC et le matériel tech, c’est comme mélanger des chaussettes avec du champagne, mais surprise ! Le consultant a ses visées sur le marché hardware. PwC, c’est pas mal de clients tech et surtout, d’autres qui salivent à l’idée d’un petit hardware maison ou réalisé en partenariat, juste pour rendre jaloux leur voisinage entrepreneurial.

Le but de l’opération ? Avec Surfaceink dans leur escarcelle, PwC sait désormais parler la langue des processeurs et des puces avec plus d’aisance. C’est aussi la promesse de gagner en force de frappe lors de futurs contrats, car avoir un expert en interne, ça rassure toujours plus que d’apprendre sur le tas, surtout avec la vitesse à laquelle la technologie galope.

Pour Surfaceink, quelle ironie du destin ! Fondée pour être la moitié technique du tandem avec Apple, ils ont poussé tous les bébés hardware de la marque à la pomme jusqu’à une mésentente sur fond de designs de tablettes en 2010. Depuis lors, Surfaceink a continué à œuvrer dans l’ombre, jusqu’à ce que PwC la sorte de la pénombre et en fait une étoile de son univers d’affaires.

Il faut croire que dans le grand cirque de la technologie, même si on commence en travaillant sur les trapèzes et les fils tendus, il y a toujours un filet pour rebondir vers de nouveaux horizons. Ou dans le cas de Surfaceink, c’est plutôt un saut vers un nouveau chapitre de leur histoire avec un partenaire de poids. Je suppose que chez PwC, on n’accorde pas seulement des violons mais aussi des circuits imprimés, n’est-ce pas? Et comme on dit souvent dans les ruelles de Silicon Valley, une bonne acquisition, c’est comme une mise à jour logicielle, ça peut tout changer… du moment que ça ne bug pas au redémarrage!

Source : Techcrunch

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