« Dans l’espace, personne ne vous entend crier… mais tout le monde peut entendre True Anomaly ouvrir une brèche de 100 millions de dollars dans l’industrie spatiale! » Oui, mes chers lecteurs, cette jeune pousse n’aime pas rester inaperçue. Au carrefour de la spatial et défense, True Anomaly saisit l’opportunité de démontrer que le ciel n’est pas la limite pour ceux qui rêvent de l’inconnu et du… Chèque en blanc!
Qui dirige la danse de la dernière série de financement en date, vous demandez-vous? Riot Ventures, ce mécène de la disruption technologique, accompagné par une ribambelle d’investisseurs tels qu’Eclipse et ACME Capital, balance la mélodie du cash pour que True Anomaly puisse envoyer ses Jackals dans la valse des étoiles, tout en propulsant son logiciel Mosaic vers la galaxie de l’intégration spatiale.
Nourrissant l’ambition de repérer et de caresser du radar tout objet s’aventurant dans le cosmos, ces Jackals ne sont pas des prédateurs quelconques. Equipés jusqu’aux dents de capteurs, ils sont les yeux et les oreilles du géant spatial naissant. Et avec Mosaic, l’orchestre de surveillance cosmique pourra atteindre une harmonie céleste. L’enjeu? Combler un apparent retard informationnel qui semble tracasser le CEO Even Rogers, ce maestro du cosmos.
True Anomaly déploie ses Jackals et son logiciel Mosaic pour jouer la symphonie de l’espace avec une avance technologique.
Si la saga ressemble à une épopée de science-fiction, n’oublions pas que True Anomaly est piloté par des anciens du Space Force, qui en moins d’un an sont passés d’un quatuor à une armada de cent têtes bien pleines. Avec une mégabase à Centennial, ces prodiges semblent avoir inventé le hyperdrive organisationnel.
Elle est loin l’époque où l’argent tombait du ciel comme les étoiles filantes. Maintenant, avec un contrat de 17,4 millions de dollars signé avec la Space Force, on parle carrément de lunettes spatiales à réalité augmentée pour suivre à la trace tout objet récalcitrant du vide intersidéral.
Bien accrochez-vous, car les deux premiers Jackals sont prêts pour un ballet spatial en mars, avec ce cher Elon et sa fusée Transporter-10 comme chauffeurs. D’ailleurs, si vous pensiez que les feux d’artifice du 14 juillet étaient spectaculaires, préparez-vous à une démonstration de proximité dans l’espace qui pourrait bien faire des jaloux jusqu’à Silicon Valley et Washington. Cela promet des étincelles et des « ooh » et des « aah » dans les rangs des tech-enthusiasts comme des stratèges de guerre.
Source : Techcrunch