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Credits image : Randy Tarampi / Unsplash

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Jouer sur la tension : Quand croissance et FCF ne sont pas sur la même longueur d’onde…

« L’argent, c’est comme l’électricité; c’est moins le choc que le courant qui compte. » – Vous pensiez à vos factures électriques ? Détrompez-vous, on parle d’euphorie économique dans le cloud ! En ces temps orageux où les taux d’intérêt se normalisent, les entreprises se branchent sur les vieilles bonnes pratiques, notamment la fameuse Règle des 40 développée par Bessemer Venture Partners. La règle stipule que la somme de la croissance du revenu et de la marge de profit doit être supérieure à 40%. Facile, non? Pourtant ce n’est pas l’euphorie pour tout le monde dans le nuage, car ce n’est pas seulement le flux de trésorerie disponible (FCF) qui compte, mais aussi et surtout… la croissance !

Il semblerait que le monde du cloud ait un petit court-circuit : au lieu de suivre le courant de la croissance, certains se sont mis à fixer leur regard sur le FCF tel le filament d’une ampoule. Mais nos collaborateurs chez Bessemer vous le diront, traiter croissance et FCF comme des éléments d’égale importance quand votre société arrive à maturité, c’est une erreur de calcul qui pourrait conduire plus d’un PDG à s’électrocuter sur la prise de la rentabilité!

Et pourquoi donc? Simplement parce qu’un accroissement de la marge a un impact linéaire, alors qu’une augmentation du taux de croissance a un effet boule de neige sur la valeur. Si on en revient à nos formules magiques, c’est la croissance qu’il faut mettre en exponentielle et non la marge FCF. Vous voulez des preuves ? Bessemer vous propose une démonstration mathématique que même votre vieille calculatrice saurait valider, et qui est confirmée par les corrélations de valorisation du marché public.

La valorisation de la croissance devrait être au moins de ~2x à 3x plus importante que celle de la marge FCF à long terme.

Alors, dois-je garder mon argent dans le matelas ou le placer dans la croissance? Si vous êtes un planificateur financier à l’ancienne, vous pouvez tabler sans sourciller sur un ratio de ~2x la croissance par rapport à la profitabilité pour les entreprises privées qui sont sur le point de franchir la ligne d’arrivée. Les entreprises publiques, quant à elles, peuvent se permettre jusqu’à 3x si elles en ont sous le pied et que la croissance est de la bonne course

À la fin de la journée, l’important est de reconnaître que dans le grand théâtre des opérations financières, la croissance est le rôle principal et le FCF n’est que le second rôle. L’étincelle d’une entreprise dynamique et florissante ne réside pas seulement dans ses économies, mais brillera bien plus par son potentiel à croître et à innover. Gardons cela à l’esprit et rechargeons les batteries pour un avenir rayonnant dans les nuages.

Crédits de l’image: Bessemer Venture Partners

Source : Techcrunch

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