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Credits image : Steven Van Elk / Unsplash

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Al Mada Ventures, précurseur d’un nouvel élan pour les startups africaines ?

Qui est réellement Al Mada Holding et quel est l’impact de sa présence dans l’écosystème des startups africaines ? Groupe parmi les plus importants fonds d’investissement privés d’Afrique, basé à Casablanca, Al Mada opère dans divers domaines tels que la banque, les télécommunications, l’énergie renouvelable et l’agroalimentaire. Mais quels sont ses plans stratégiques pour ces entreprises, et comment envisage-t-il d’innover et de garder une longueur d’avance dans un univers technologique en constante mutation ?

En observant attentivement l’essor remarquable du capital de risque, Al Mada a-t-il su avantager ses entreprises ? Les investissements dans les startups africaines ont explosé, passant de 366 millions de dollars en 2016 à 5-6 milliards en 2022. Mais une question persiste : quel est le véritable rôle joué par Al Mada dans ce contexte, surtout quand on sait que le financement des stades initiaux de développement est souvent assuré par des investisseurs locaux, tandis que les stades plus avancés attirent l’attention et le capital des investisseurs étrangers ?

Al Mada Ventures (AMV), née en mars dernier avec un capital conséquent, cherche-t-elle à combler le manque de financements au stade de croissance des entreprises africaines ? La création de cette branche venture capital avec un capital initial de 110 millions de dollars porte-t-elle la promesse d’une influence africaine par des capitaux exclusivement issus du continent, contrairement à la tendance des investisseurs étrangers et des institutions de financement du développement (DFI) ?

AMV espère-t-il révolutionner le paysage du capital-risque en Afrique en modifiant la donne par ses investissements et en stimulant d’autres institutions à franchir le pas ?

L’approche evergreen adoptée par AMV est-elle une solution aux difficultés propres au paysage entrepreneurial du continent africain, notamment en offrant un capital patient pour surmonter les cycles macro-économiques ? Peut-on envisager un changement dans la dépendance africaine vis-à-vis des capitaux étrangers, alors que la plupart des investisseurs ne sont pas basés sur le continent ?

En mettant l’accent sur le rapprochement entre startups et entreprises consolidées, AMV cherche-t-il à créer une synergie où l’innovation serait au rendez-vous ? Quel est l’impact de l’intention d’investir dans un portefeuille d’environ 20 entreprises, avec des tickets variant de 500 000 à 1 million de dollars par opportunité en phase de démarrage et de 2 à 6 millions de dollars pour les opportunités en séries A et B ?

Al Mada Ventures se pose-t-il en précurseur d’un mouvement qui verrait les acteurs économiques locaux et internationaux s’investir davantage dans l’entrepreneuriat jeune et innovant sur le continent africain ? Peut-on percevoir une tendance d’essor de la part du Maroc dans le domaine du capital-risque, avec des investissements significatifs au cours de l’année passée et l’émergence de nouveaux fonds locaux comme Outlierz Ventures et UM6P Ventures ?

La percée d’AMV signifie-t-elle non seulement pour le Maroc mais également pour l’ensemble de l’Afrique une maturité nouvelle et prometteuse de l’industrie du capital de risque ? Quelles seront les répercussions de cette démarche à long terme et comment les entrepreneurs africains et désireux d’investir en Afrique réagiront-ils à cette nouvelle opportunité ?

Source : Techcrunch

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