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Credits image : Austin Distel / Unsplash

Société
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IEP ou pas IEP: La Silicon Valley balance entre espoir et paroles!

« Dans le monde de l’immigration, il est plus facile de faire un double saut carpé que de comprendre toutes les nuances des visas! » Dans la Silicon Valley, Sophie Alcorn, avocate et fondatrice de Alcorn Immigration Law, jongle avec la complexité des lois d’immigration pour aider les entrepreneurs à poser leurs valises aux États-Unis. Et aujourd’hui, elle répond à la question brûlante d’un lecteur sur le fameux programme de « Parole pour entrepreneurs internationaux » (IEP).

Alors, est-ce que l’IEP est toujours d’actualité? Aussi vivace qu’un Tamagotchi dans les années 90, ce programme existe toujours! Mais accrochez-vous à votre modem 56k, car obtenir l’IEP pourrait vous prendre autant de temps que de télécharger une chanson sur Napster en 1999. Nous parlons d’un grand voyage dans le temps de plus de deux ans rien que pour que l’USCIS vous fasse un clin d’œil d’approbation.

L’IEP, un parcours plus tortueux qu’un niveau d’expert de Tetris pour les entrepreneurs?

Sophie nous conseille de nous accrocher à nos chaises pivotantes car même une fois l’application approuvée, activer le programme est comme essayer de résoudre un Rubik’s cube dans le noir. Il poursuit en faisant moins de sens pour ceux qui se baignent dans les piscines en or des fonds de capital-risque et plus pour les heureux bénéficiaires de subventions gouvernementales. Pourquoi, demandez-vous? Parce que convaincre tonton Sam que vous êtes l’aiguille innovante dans la botte de foin de la Silicon Valley nécessite un minimum de 106 000 dollars de ces doux billets verts provenant d’une institution gouvernementale.

Les alternatives? Les incontournables visas O-1 ou H-1B pourraient ressembler à une oasis dans un désert de paperasse pour les start-uppers en quête du rêve américain. Et comme on n’ouvre pas une boîte de Pandore sans un plan de secours, maître Alcorn évoque d’autres voies moins connues mais peut-être plus rapides pour ceux qui veulent tenter leur chance outre-Atlantique.

Bref, ne mettez pas tous vos œufs de Pâques dans le même panier IEP, surtout si vous cherchez des solutions plus rapides comme un lapin. Et souvenons-nous que dans le labyrinthe de l’immigration, même si la porte est parfois entrouverte, cela ne veut pas forcément dire que c’est la voie la plus rapide. Pour certains, miser sur les classiques pourrait s’avérer être la vraie recette du succès.

Source : Techcrunch

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