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Credits image : Ales Nesetril / Unsplash

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La Tech et Les barreaux: Un « bug » dans le système ?

« En Silicon Valley, les apparences sont parfois trompeuses, et ce ne sont pas les start-up qui diront le contraire ! » Voici un petit florilège de ces génies du tech qui, plutôt que de créer le prochain gadget à la mode, se sont retrouvés à la mode… de la fraude !

Lumière sur ces têtes pensantes de la tech qui n’ont pas brillé par leur génie, mais plutôt par leurs menottes cliquètantes. Allons faire un tour d’horizon des exécutifs de la tech qui se sont retrouvés derrière les barreaux cette année.

Le fondateur de Nikola, Trevor Milton, avait des idées pleines d’hydrogène pour révolutionner le transport de marchandises. Sa personnalité charismatique a attiré des investisseurs tels que General Motors. Mais le rêve a viré au cauchemar lorsque Nikola est devenu public et que Milton s’est retrouvé accusé de fraude. Résultat? Quatre années de prison pour l’ami Trevor, mais pas sûr que l’histoire s’arrête là…

Elizabeth Holmes, elle, c’est la reine déchue des start-ups. Theranos, sa société qui promettait de révolutionner le monde de la santé, a captivé le monde entier… mais c’était du vent. Holmes goûte dorénavant à la cuisine carcérale pour les 11 prochaines années. Elle ne risque pas de manquer de fans…

Du rêve à la prison, la chute est parfois rapide en Silicon Valley.

Carlos Watson, chef de la start-up média Ozy Media, a vu son empire s’effondrer après un coup de fil douteux à des banquiers. Son associé aurait imité la voix d’un cadre de YouTube, mais les investisseurs floués ne se sont pas laissé berner longtemps. Autant dire que la maladresse au téléphone, ça ne pardonne pas.

Binance et son PDG, Changpeng Zhao, alias « CZ », ont admis leur culpabilité face aux accusations de fraude. Visiblement, derrière la plus grande plateforme d’échange de crypto au monde se cachait un petit casse financier à 4,3 milliards de dollars. « CZ » ne peut même plus quitter les États-Unis, tant il est riche et dépourvu d’attaches… Pas sûr que cet « énorme » portefeuille le console beaucoup.

On découvre aussi l’histoire de Mark Schena, qui a joué avec la santé publique en mentant sur la capacité de sa compagnie Arrayit à tester les allergies et le COVID-19. Résultat ? Huit ans d’enfermement et une douloureuse amende de 24 millions de dollars pour menottes sur ordonnance.

Mais la palme du flop revient sans conteste à Sam Bankman-Fried, alias SBF, ancien néo-messie de la cryptomonnaie, qui a plutôt joué au plus grand prestidigitateur web3 de ces dernières années. Son ancienne plateforme FTX est tombée comme un château de cartes. SBF, quant à lui, pourrait regarder les barreaux se multiplier pour une peine jusqu’à 115 ans.

Pour clore notre galerie, on présente Mike Rothenberg, qui, après avoir lancé des soirées de gala et des matchs VIP pour les Warriors, a finalement marqué un panier à trois points directement dans la case prison, en marquant sa carrière du sceau de la fraude. Et que dire de Joe Sullivan, l’ancien procureur fédéral devenu responsable de la sécurité chez Uber, qui inscrit son nom dans l’histoire comme le premier à être condamné pour des crimes liés à sa fonction.

Le thème est clair : à trop vouloir jouer aux apprentis magiciens, certains finissent par réaliser le plus grand tour de leur carrière… une disparition derrière les barreaux. Peut-être qu’à l’avenir, ils se contenteront d’un simple chapeau et d’un lapin, c’est bien moins risqué, et tout public en plus ! 😉

Source : Techcrunch

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