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Credits image : Ayaneshu Bhardwaj / Unsplash

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Pièces Detachées: L’Inde débranche les Exchanges Crypto Réfractaires

« Si les cryptos étaient des pommes, l’Inde serait ce magasin qui vous infligerait une taxe juste pour les regarder! » Vous avez bien entendu, chers lecteurs, le grand bazar des cryptomonnaies est en pleine tourmente en Inde, où une unité de renseignement financier vient de taper sur les doigts de neuf bourses crypto mondiales, les accusant d’être aussi clandestines qu’un étal de mango à minuit!

Mais que leur reproche-t-on précisément? Eh bien, figurez-vous que ces entités numériques audacieuses — on parle ici de grands noms tels que Binance, Kraken et quelques compagnons de leur acabit — semblent jouer à cache-cache avec le AML (Anti Money Laundering : lutte contre le blanchiment d’argent) local indien. Résultat, des lettres de convocation de la part du gouvernement, un peu comme un carton jaune avant le rouge!

Et avec une affaire de cryptos, forcément, ça rigole pas : la régulation est devenue plus sévère en mars lorsque l’Inde a intégré les cryptomonnaies dans sa législation anti-blanchiment et contre le financement du terrorisme. Bien sûr, une trentaine d’acteurs du secteur se sont alignés, mais ces fameux neuf semblent être passés au travers des mailles du filet. Un filet qui, ici, a visiblement des trous aussi gros qu’une blockchain défectueuse!

« Un carton jaune pour les exchanges cryptos – L’Inde leur montre le feu rouge du non-respect du AML. »

Il faut dire que les cryptotraders indiens semblent avoir trouvé la parade pour esquiver les taxes en se dirigeant discrètement vers des plateformes internationales. Depuis que le gouvernement a instauré une taxe de 30% sur les bénéfices des cryptos avec, cerise sur le gâteau, 1% de prélèvement sur chaque transaction, c’est la valse des wallets vers des cieux plus cléments.

Mais pendant ce temps, les exchanges basés en Inde, comme CoinSwitch Kuber, CoinDCX et WazirX, suivent le pas de danse des KYC (Know Your Customer) avec sérieux, tandis que certains de leurs cousins internationaux préfèrent visiblement improviser un petit moonwalk réglementaire. N’est-ce pas frappant de voir que WazirX a vu son volume de transactions fondre comme neige au soleil? Presque poétique, je dirais.

D’autres violons du même orchestre, comme Huobi, Gate.io, Bittrex, Bitstamp et Bitfinex, se sont également fait épingler par la vigilante IND. Et pour ceux qui se demanderaient, Coinbase a déjà pris ses cliques et ses claques en mettant en veille l’inscription de nouveaux utilisateurs indiens il y a quelques mois.

Enfin, pour terminer sur une note positive, les acteurs indiens régulés se réjouissent de ces directives, voyant en elles une opportunité de mitiger les risques et d’offrir un écosystème plus sécurisé pour les actifs numériques. Quant à Binance, disons que leur intérêt pour le marché indien est aussi chaleureux qu’une glace en plein hiver himalayen, si vous voyez ce que je veux dire.

Alors, chers lecteurs, si jamais vous vous sentez l’âme d’un crypto-trader en Inde, n’oubliez pas que même dans le monde virtuel, il est toujours bon de suivre les règles… à moins que vous ne vouliez être traités comme des hackers en sandales par le gouvernement indien! Et pour les exchanges récalcitrants, on n’est pas loin de penser que l’Inde a une nouvelle devise: « Pas de KYC? Namaste out! »

Source : Techcrunch

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