yellow and black 4-wheeled robot vehicle toy

Credits image : Jorge Zapata / Unsplash

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Drone d’argent volant, Silicon Valley gardant

« L’argent ne fait pas le bonheur, mais il finance de belles avancées technologiques ! » Aujourd’hui, mes chers lecteurs, affûtez vos écrans tactiles et dépliez vos oreilles numériques, car on se téléporte dans le futur avec Shield AI, le petit génie de la tech qui vient de gonfler son porte-monnaie numérique avec pas moins de 300 pétunias verts – je veux dire millions de dollars – en sus. Ce tour de table, qui atteint maintenant le demi-milliard de dollars, c’est un peu comme passer du modem 56k à la fibre optique en une fraction de seconde.

Alors, cette manne financière sort de quel chapeau magique ? Du haut-de-forme de l’équité, mes amis, avec $100 millions de nouveaux billets verts tout frais, et d’un prêt de $200 millions qui a plus le profil d’un bon vieux Tonton Picsou de chez Hercules Capital. Et comme par enchantement, la valorisation de l’entreprise fait un bond de 100 millions de dollars depuis novembre, atterrissant à un vertigineux $2.8 milliards. On pourrait croire que Shield AI a trouvé la lampe d’Aladin, mais non, c’est juste que leur IA a décroché son permis de piloter.

Parlons un peu plus sérieusement, pour ne pas dire gravement ! Le produit phare de Shield AI répond au doux nom de Hivemind, et promet de transformer nos bon vieux zincs en oiseaux autonomes, se passant de pilote, de GPS et même du signal SOS Morse. « AI pilots », comme aime à les appeler Ryan Tseng, le grand manitou de Shield AI, c’est un peu la tour de contrôle volante du futur qui ferait pâlir HAL 9000 de jalousie.

« Un demi-milliard pour des drones autonomes, la défense prend de l’altitude avec un portemonnaie bien garni. »

Ce cerf-volant technologique ne reste pas cloué au sol, loin de là ! L’entreprise a déjà lancé son V-BAT Teams, un logiciel qui fait danser les drones au rythme de Hivemind. Imaginez une chorégraphie de vols synchronisés, façon spectacle de drones lors du Super Bowl, mais pensée pour taper dans l’œil des stratèges militaires plutôt que dans celui des spectateurs mi-temps.

Sans déconner, Brandon Tseng, lui aussi cofondateur et frère du Tseng numéro uno, s’est payé une virée au Sénat U.S. pour rappeler que tout ce beau monde électronique a une importance capitale dans la stratégie de dissuasion du pays. « Faites pas les timides avec les IA pilotes », semble-t-il dire, « ou c’est game over pour l’oncle Sam ! » Attention, on est loin de la partie de Risk dominicale, l’enjeu ici c’est de ne pas se faire damer le pion par des armements adverses qui coûtent un sandwich et un soda.

En gros, si la DoD (Department of Defense, pour les néophytes) n’accélère pas le pas dans la valse technologique, on va sérieusement se faire chahuter sur la piste de danse globale. L’époque des gros navires et des flingos imposants, c’est fini ; il est temps de miser sur les danseurs agiles que sont les AI pilots. Et il va falloir enclencher le turbo, sinon nos chers drones risquent de se transformer en simples cerfs-volants pour enfants.

Source : Techcrunch

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