« Dans le royaume des startups, chaque échec est une marche vers le succès… ou vers un prêt étudiant à rembourser. » Ah, le monde impétueux des startups, où chaque instant peut être celui de la gloire ou celui d’un crash spectaculaire contre un mur en pixels. Mais pourquoi se lamenter sur leur passage à trépas industriel? Ma foi, voilà une mauvaise pioche!
La quête suprême de la startup, c’est de bâtir, pierre par pixel, son propre Mont Rushmore corporatif. Un monument à la persévérance, quoi! Mais si on fouille un peu, on s’aperçoit qu’elles sont bâties sur une dramaturgie entrepreneuriale : l’envolée lyrique vers les sommets ou la chute libre façon Icare 2.0. Entre les deux, mon cœur balance… Mais en vérité, il n’y a point de milieu ! Cette dynamique laisse entrevoir pourquoi on ne devrait pas s’attrister quand une startup rend l’âme.
C’est un peu comme un épisode de votre téléréalité préférée : sans les larmes et les rebondissements, on s’ennuierait ferme devant notre écran. En effet, dans cette arène digitale, chaque faillite, chaque point de rupture, est un possible prélude à un coup de génie futur. D’un échec peut jaillir la lumière, d’une faillite peut naître un empire (ou du moins un abonnement premium à LinkedIn).
Ne pleurons donc pas les startups disparues, elles sont les graines d’où germeront les innovations de demain.
Rappelons-nous aussi que si la scène startup est un perpétuel cycle de vie et de mort : créer, croître, et… pouf ! C’est dans ce « pouf » que réside tout le sel de l’entrepreneuriat. Peut-être devrions-nous, au lieu de verser une larme, lever notre verre à ces vaillants vaisseaux spatiaux d’internet qui, même en explosant, font pleuvoir sur nous des étoiles filantes d’inspiration.
Alors oui, nous verrons encore bien des « j’ai réussi ! » suivis de « oups, je me suis planté… ». Mais ne soyons pas dupes de cette farandole entrepreneuriale. Chaque fin est le début de ce que j’aime appeler : le grand recyclage cosmique des idées!
Et pour conclure avec légèreté, ne perdons jamais de vue que dans le monde merveilleux des startups, même le plus désastreux des crash-tests a sa raison d’être : il nous rappelle qu’après tout, échouer c’est déjà un peu comme réussir… à faire quelque chose de travers. Et parfois, c’est tout ce qu’il nous faut pour inventer la roue carrée de demain.
Source : Techcrunch