a table topped with lots of different types of items

Credits image : Elena Mozhvilo / Unsplash

Réseaux sociauxSociétéTechnologie
0

Apple Vs Hey: Un Combat Pour La Justice Ou Pour Le Profit?

Les conflits entre les créateurs de Basecamp et Apple se poursuivent, mais quel est l’élément déclencheur cette fois-ci? La nouvelle application de calendrier de Hey, créée par les fondateurs de Basecamp, a été refusée par l’App Store d’Apple. N’est-ce pas étrangement similaire au rejet de l’application d’email Hey d’il y a quatre ans, lorsqu’Apple reprochait à l’application de ne pas permettre aux utilisateurs non payants de s’en servir après le téléchargement, ni de permettre l’inscription via l’application?

Qu’est-ce que Basecamp a bien pu lancer la semaine dernière pour se heurter à nouveau au mur Apple? En effet, un service de calendrier intégré à Hey et une application autonome ont été mis sur le marché. Pourtant, selon David Heinemeier Hansson, cofondateur de Hey, la pomme croquée a refusé catégoriquement l’application indépendante de calendrier Hey. Sur quoi se base donc Apple pour justifier son refus?

Apple maintiendrait-elle une règlementation obsolète ou serait-elle en quête d’un contrôle absolu?

Le géant serait-il gourmand au point de requérir que les applications permettent les inscriptions et éventuels abonnements directement en leur sein, afin de prélever sa dîme de 30% sur les transactions? Cette exigence ne semble pas s’appliquer à tous, certains comme Netflix, Kindle et Spotify pouvant contourner cette règle en permettant aux utilisateurs de s’inscrire hors de l’application. Cherche-t-on ici à préserver l’écosystème d’Apple ou à monopoliser le marché?

Quel compromis avait été trouvé en 2020 lorsque l’application email de Hey avait d’abord été rejetée? N’était-ce pas un arrangement permettant aux utilisateurs de télécharger et d’utiliser Hey avec un identifiant électronique aléatoire avant de devoir s’abonner via navigateur hors de l’App Store?

Dans un billet de blog, Hansson avance que de nombreuses applications, telles que Google Calendar et Netflix, ne sont-elles pas également protégées par des connexions avec paiements en dehors de l’écosystème d’Apple? Et si un seul identifiant iCloud permet l’accès à une suite d’applications, pourquoi l’application de calendrier Hey ne bénéficierait-elle pas du même traitement?

Face à ce nouvel affront, Hey se soumettra-t-il ou continuera-t-il à lutter contre ce qu’il considère comme du racket? « Nous ne nous plierons jamais pour payer à Apple 30% de frais de protection pour être laissés tranquilles. La dernière fois, nous avons trouvé une solution, et nous en trouverons une nouvelle », affirme Hansson. Mais quelle sera la prochaine étape? Apple garderait-elle le silence pour éviter d’enflammer davantage le débat?

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.