Chez Mirantis, la startup infrastructure pour les entreprises, on dirait que le poste de PDG est un peu comme une chaise musicale où les co-fondateurs Alex Freedland et Adrian Ionel semblent danser au son des évolutions de la société depuis sa naissance en 1999. Cette fois-ci, c’est Freedland qui reprend la main, peaufinant son moonwalk de CEO pour revenir sur le devant de la scène, tandis qu’Ionel swap vers un rôle de conseiller dès le 11 janvier.
Un petit oiseau, enfin, un mémo interne, nous chuchote que ce mouvement était prévu, un pas de deux avec le conseil d’administration pour assurer une transition douce. La mission du revenant? Se trémousser au rythme de l’innovation technique et de la croissance rentable.
Après avoir vogué sur des hauts et des bas, Mirantis semble s’être stabilisé, se transformant en rockstar du dev en se déhanchant sur Kubernetes et d’autres technologies cloud-native. A noter qu’en 2019, Mirantis a fait un pas de géant en absorbant Docker Enterprise, mettant ainsi la main sur le dancefloor de l’infrastructure moderne.
« Freedland revient en force chez Mirantis pour orchestrer une nouvelle ère de croissance technique, avec l’open source comme chef de bande. »
Notre PDG comeback, Freedland, est tout excité, comme un gamin dans une salle d’arcade, avec cette période bouillonnante de l’histoire informatique dominée par l’open source. Chez Mirantis, c’est open bar: on mélange le meilleur du libre-service pour concocter des solutions sécurisées, fiables et évolutives prêtes à mettre K.O. la concurrence.
Ionel, pendant son précédent solo, a fait grandir l’équipe et le portfolio de Mirantis, avec amazee.io, Shipa, et le trésor de guerre de Kontena, pour créer le produit Lens. Maintenant, il passe le relais, mais reste dans la troupe comme conseiller.
Source : Techcrunch