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Credits image : Bernd 📷 Dittrich / Unsplash

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IA Générative : L’Espoir Code Source

« L’intelligence artificielle, c’est comme un robot qui essaie de jouer à cache-cache dans le noir : elle est excitée d’essayer, mais n’est pas tout à fait sûre de ce qu’elle fait là. » Ah, l’IA générative… Cette technologie promet de révolutionner notre quotidien, mais à en croire les sondages récents, les chefs d’entreprise sont aussi confiants en son potentiel qu’un chat l’est avec un poisson rouge comme comptable.

Une petite enquête de Boston Consulting Group (BCG), qui a interrogé le grand banditisme des costumes-cravates de la C-suite, révèle une ambiance mi-figue mi-raisin concernant les progrès de l’IA générative au sein des boîtes. Sur 1 400 magnats, 66 % affichent une mine plus dubitative qu’un enfant devant un brocoli. Parmi les raisons invoquées : une cascade de talents et de compétences invisibles, des cartes routières aussi claires que du café turc, et une stratégie aussi solide qu’un château de cartes dans une tornade sur la question de l’usage responsable de la GenAI.

Néanmoins, ne croyez pas que ces exécutifs ont jeté l’éponge ! Presque tous (89 %, pour être précis) placent toujours la technologie IA en haut du podium de leurs initiatives IT pour 2024. Cependant, seules la moitié des âmes interrogées s’attendent à ce que leur petit protégé, l’IA générative, booste significativement la productivité de leurs équipes.

Les résultats indiquent un scepticisme d’entreprise pointilleux sur les outils de génération assistée par intelligence artificielle.

L’ambiance générale tranchée par ces résultats n’est pas sans rappeler les conclusions d’une autre petite sauterie de sondage BCG de l’année dernière. Là, 2 000 grands décideurs avaient sorti le carton rouge à l’adoption de la GenAI, redoutant des décisions malavisées, voire illégales, et envisageaient déjà le prochain vortex de cyber-attaques qui pourrait mettre à mal la sécurité des données de leurs entreprises chéries.

Tout ça nous ramène à la crainte d’une violation du droit d’auteur, un sujet éminemment croustillant dans le monde sucré salé de l’IA générative. Entre le risque de voir l’outil se transformer en machine à fabriquer des bêtises à la chaîne et les dilemmes éthiques qu’il soulève, on peut dire que les attentes sont aussi tempérées qu’un bon thé anglais.

En conclusion, bien que l’IA générative soit aussi populaire qu’une promesse de politicien en période électorale, les patrons semblent attendre le déluge avant de lui accorder leur confiance les yeux fermés. Mais qui sait ? Peut-être que demain, l’IA générative sera au cœur de nos vies. Après tout, il faut parfois savoir générer de l’espoir autant que de la donnée. Comme le dirait l’IA elle-même si elle avait du sens de l’humour : « mon potentiel est comme le Yeti, tout le monde en parle, mais personne ne l’a clairement vu ! »

Source : Techcrunch

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