« Dépenser pour des clics ou pour des clacs, là est la question! » – tiré du guide du marketeur moderne.
Imaginez commencer une startup à l’envers, presque comme enfiler son pantalon par la tête. Eh bien, chez Zupyak, c’est plus ou moins ce qui s’est passé. Ça donne un peu le tournis, mais accrochez-vous, ça fonctionne ! On démarre sans idée fixe, et pouf, voilà une plateforme de blogs pour entreprises façon B2B. Avec Qi Cao, on a regardé cette idée prendre forme, gagner 300,000 utilisateurs et voir un déferlement de 50,000 articles mensuels. Une croissance aussi frénétique qu’un lapin sous caféine, le tout sur fond de coûts publicitaires en hausse. Un vrai cabinet de curiosités marketing !
Attirer le chaland devient un art de plus en plus obscur, et je parle même pas du Tarot. L’an dernier, Facebook a grossi ses tarifs jusqu’à 89% – une situation qui fait se tirer les cheveux (et les portefeuilles). Entre nous, ça arrange nos affaires chez Zupyak, mais pour les autres, c’est la soupe à la grimace.
« L’orange est douce, mais sa zeste peut piquer; adaptez-vous rapidement, soyez l’artiste de votre niche. »
Ah le marketing, ce doux fardeau que l’on pense porter après avoir pondé le produit parfait. Mais chez Zupyak, on a mis la charrue avant les bœufs. Qi jouait avec sa plateforme en guise de passe-temps, et vlan – un cercle vertueux de croissance s’est formé. Des utilisateurs qui partagent leur contenu, c’est comme des dominoes qui tombent et qui font un boucan monstre.
On a tous déjà entendu « testez, testez, il en restera toujours quelque chose. » Alors on a suivi le mantra, et à coup de tests marketing, on a fini par trouver la stratégie qui fait mouche. Cliquez, mesurez, ajustez – une recette aussi simple qu’un sandwich au fromage. Les pubs payantes, ça va encore, on compte les clics. Mais pour le reste, c’est la jungle : armé d’une machette numérique (ou plutôt de liens de suivi), on taille sa route à travers les forums et les communautés en ligne pour capturer l’audience.
N’oublions jamais, chers marketeurs en herbe ou en fleur, que le plus gros poisson, c’est celui qui connaît le mieux son étang. Comprendre à fond le problème du client, c’est la clé qui ouvre toutes les portes… même celles des start-ups montées à l’envers comme un jean oublié au lever.
Vous l’aurez compris, chez Zupyak, on n’a pas peur de se jeter à l’eau sans bouée. On peut dire que quand le contenu prend l’eau, Zupyak rame… mais toujours dans la bonne direction !
Source : Techcrunch