green mountain during night time

Credits image : Adi Ulici / Unsplash

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Panneaux Solaires: La Nouvelle Étoile de la Pierre Papier-Ciseaux Lunaire

« La conquête spatiale, ce n’est pas qu’une histoire de fusées, c’est aussi une affaire de panneaux solaires récalcitrants ! ». Cette semaine dans l’univers impitoyable du spatial, le Japon a ajouté son nom à la prestigieuse liste des alunisseurs, la privatisation de l’espace continue son bonhomme de chemin, et la NASA flirte avec l’audace.

Notre vedette de la semaine, c’est SLIM, un lander nippon qui, en débarquant avec grâce sur la Lune, ferait presque de l’ombre aux haïkus. Oui, grâce au SLIM, le Japon se hisse au niveau des États-Unis, de la Chine, de la Russie et de l’Inde. Malgré un petit couac au tableau – les cellules solaires du lander font la sieste -, JAXA, l’agence spatiale japonaise, arbore un sourire jusqu’aux oreilles. Car oui, SLIM a prouvé que l’on peut se poser sur la Lune avec la délicatesse d’un papillon grâce à sa techno de navigation optique. Qui sait, les panneaux solaires capricieux, ce pourrait être juste une histoire de timming avec le Soleil…

La mission SLIM a réduit son espérance de vie lunaire, mais le Japon peut quand même pavaner avec son atterrissage haute précision.

Changeons de décor pour parler d’une affaire totalement privée, ce n’est pas du SpaceX, c’est de l’Axiom Space ! Ce jeudi, leur troisième mission a été catapultée vers l’ISS, en mode sans NASA à bord. Ça pose des jalons jusqu’à leur future station spatiale, prévue pour voler solo dès 2026. Ce train de l’espace ne connait pas la crise et promet deux expéditions privées par an.

Et que dire de la stratégie de la NASA avec son programme CLPS ? On dirait qu’elle s’est inspirée du livre de recettes d’Elon Musk : accepter les risques pour épicer le tout. C’est pourquoi, même si Astrobotic, une de leurs étoiles montantes, a connu un échec avec son lander Peregrine, on peut affirmer que tout n’est pas noir dans l’univers de la NASA.

Avant de conclure notre périple intersidéral, rappelons-nous qu’il y a trente-deux ans, la NASA découvrait que l’apesanteur ne servait pas qu’à faire des flips. Avec le lancement du premier laboratoire de microgravité à bord de la navette Discovery, des scientifiques opportunistes prenaient un aller simple pour flotter dans l’innovation. Merci, 1992, pour ces huit jours qui ont fait poids sur notre vision de la science en absence de poids !

Ah et au fait, on espère que les panneaux solaires du SLIM ne se sont pas simplement mis en mode nuit pour observer les étoiles ! (Pardon, c’était tentant.)

Source : Techcrunch

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