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Credits image : Juan Manuel Núñez Méndez / Unsplash

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Quel futur pour la protection des droits des artistes face à l’IA?

Comment les artistes peuvent-ils protéger leurs œuvres à l’ère de l’intelligence artificielle générative? Les modèles d’IA comme Midjourney et DALL-E 3 d’OpenAI sont capables de traduire n’importe quelle description en œuvres d’art étonnantes. Mais cette technologie pose-t-elle des problèmes éthiques, surtout quand elle s’entraîne sur des œuvres sans le consentement des artistes?

N’est-ce pas troublant que la formation de ces modèles se fasse souvent sans l’accord des créateurs? Beaucoup de ces artistes n’ont jamais donné leur autorisation pour ces utilisations, et les compensations sont rares. Dans cet univers sans direction claire des tribunaux ou du Congrès, comment réagissent les artistes et les entrepreneurs?

Certains prennent les devants avec de nouveaux outils pour outrepasser les modèles IA. Par exemple, la solution nommée Nightshade modifie subtilement les pixels des images pour tromper les modèles. De même, Kin.art innove en masquant temporairement des parties des œuvres et en interchangeant les metatags. Devons-nous voir ces méthodes comme des escarmouches préliminaires dans une guerre plus large pour la propriété créative?

Des outils comme Nightshade et Kin.art ouvrent-ils la voie à une nouvelle forme de résistance numérique?

Lancé aujourd’hui, Kin.art, qui promeut une plateforme de gestion des commandes d’art, semble offrir une solution co-développée par ses fondateurs pour contrecarrer les efforts de formation de ces modèles IA. Est-ce un outil performant sans frais prohibitifs? Comment peut-il influencer l’écosystème de l’art numérique?

Flor Ronsmans De Vry de Kin.art défend-il une approche éthique dans la formation d’IA, cherchant à établir une coexistence harmonieuse entre l’art traditionnel et l’art génératif?

Et cette initiative visant à prévenir l’utilisation des œuvres d’art dans les modèles IA, plutôt que de tenter d’éliminer les effets après coup, est-elle une forme de protection préventive qui sera efficace à long terme?

Enfin, Kin.art aurait-il des objectifs philanthropiques en rendant cet outil disponible plus largement, ou est-ce une stratégie subtile pour attirer les artistes vers sa gamme de services liés aux commissions d’art?

Alors que Kin.art prend position dans le débat sur la protection des données à l’ère de l’IA, et présente des solutions potentielles, l’avenir dira si ces outils représenteront un rempart efficace ou un simple pansement sur l’ambiguïté juridique actuelle. Quel impact cet outil aura-t-il sur le débat sur les droits d’auteur dans l’univers numérique?

Source : Techcrunch

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