lighted signage of T-mobile

Credits image : Mika Baumeister / Unsplash

Réseaux sociauxSmartphones
0

Quand Vodafone épouse Three, le CMA joue les entremetteurs avec un œil de lynx… et un coeur de pierre?

Les mariages arrangés, c’est pas toujours une histoire à l’eau de rose, surtout quand on parle de mastodontes de la télécommunication au Royaume-Uni! Mes chers lecteurs, la saga du moment c’est le mariage projeté de Vodafone et Three UK, et autant vous dire que l’organisateur de la fête, le CMA (Competition and Markets Authority), a quelques exigences avant de jouer les cupidons pour ce couple d’une valeur de 19 milliards de dollars.

Vous savez, dans cette belle île britannique, quatre prétendants se sont partagé le cœur des ondes mobiles depuis des lustres : Vodafone, Three, EE, et O2. Avec cette union, on passerait à trois, et c’est là que les choses deviennent sérieuses, comme une telenovela du business où le suspense est aussi épais que le brouillard londonien. Le CMA a pris son plus bel habit d’enquêteur pour voir si cette romance n’entraverait pas la concurrence.

C’est le début d’une enquête passionnante qui pourrait révéler des tournants inattendus dans le feuilleton des télécoms britanniques.

Annoncez les violons et sortez les mouchoirs, car ce bon vieux CMA vient de lancer la première phase de son enquête. Trente à quarante jours pour jouer les entremetteurs, fouiner dans les coins sombres des promesses et des offres des mariés, histoire de vérifier si ce mariage arrangé ne cache pas un plan diabolique pour gommer la concurrence.

Le funeste précédent de Three, qui a déjà tenté une escapade amoureuse avec O2 pour finalement se voir brutalement recalé par les autorités européennes, plane comme un fantôme sur ces nouvelles noces. Mais, on repart à zéro, chaque amour est unique, et le CMA jure que seule la beauté intérieure de ce projet lui importe.

On s’attend à ce que le CMA joue les prolongations avec une seconde phase d’enquête, qui pourrait étaler cette histoire sur six mois de rebondissements. Pendant ce temps, Vodafone et Three disent rêver d’un monde meilleur où leur union permettrait des investissements massifs et une 5G plus étendue pour les sujets de Sa Majesté.

Et n’oublions pas les préoccupations de sécurité nationale! La série s’épaissit avec des intrigues internationales, où un joueur des Émirats arabes unis détient un joli paquet d’actions chez Vodafone, tandis que le parent de Three, basé à Hong Kong, se trouve dans la sphère d’influence d’une certaine loi sur la sécurité nationale venue de Chine. Ceux qui aiment les histoires d’espionnage vont se régaler!

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.