a view of a lush green forest from behind a leafy plant

Credits image : Moses Londo / Unsplash

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Taylor Reswift : Quand les deepfakes jouent les trouble-fête

« En matière de technologie, même les étoiles filantes peuvent se planter », et c’est exactement ce qu’a vécu la plateforme X, là où même la brillante Taylor Swift n’a pas pu échapper aux trous noirs de l’Internet. Figurez-vous que X a fermé les vannes de la recherche en ligne pour tout ce qui concerne Taylor Swift, suite à la viralité de deepfakes pour le moins… peu mélodieux. Des images pornographiques créées par IA qui ont mis la toile en émoi, un peu comme une chanson trop entraînante qu’on ne peux plus sortir de sa tête.

Voici la chansonnette : dès que la rumeur s’est propagée, les fans de la chanteuse, armés de leurs clics de justiciers, ont tenté d’étouffer le brouhaha en mass-signalant les comptes concernés et inondant l’univers virtuel de contenu positif. Mais, oops! il se trouve que les compteurs ont quand même atteint des millions de vues avant que les comptables de chez X ne suspendent les pages incriminées. On imagine aisément les opérateurs de chez X, bouches bées devant leurs écrans, comme des poissons hors de l’eau.

Du côté de chez X, on jure que la nudité non-consensuelle (NCN) est contraire aux valeurs de l’entreprise et que leurs équipes sont sur le pont pour envoyer ad patres ces images indésirables. Pourtant, malgré leur détermination, on pouvait encore trouver ces fameuses images quelques jours après la tempête. Cela revient à dire que nettoyer Internet, c’est un peu comme ratisser les feuilles en pleine tempête d’automne.

« Face à la technologie, on apprend parfois que le contrôle est plus une illusion qu’une réalité. »

C’est un peu comme jouer à cache-cache avec des hologrammes : le blog 404Media pense avoir déniché la cachette de ces images, qui aurait commencé dans un groupe Telegram notoire pour sa production d’images générées par IA. Et lorsque Lodestar Nadella (pardonnez-moi, Satya Nadella), le grand manitou de chez Microsoft, prend la parole, c’est pour souligner que, oui, il faut des garde-fous autour de la technologie pour s’assurer que le contenu produit soit « safe », ou autrement dit, pour que nos soirées karaoké ne se transforment pas en festivals interdits aux mineurs.

Traduction : on est en plein chantier et il faut accélérer. Mais ne soyons pas trop durs, la technologie, c’est un peu comme apprendre à danser : on ne fait pas de pirouettes sans quelques faux pas. Et quand on s’appelle X, il faut savoir que même quand on fait un X, il y a toujours quelque chose à faire pour que ça ne tourne pas au triple X. Touché mais pas coulé, X orchestre sa symphonie de mesures, espérant que le spectacle continue sans fausse note.

Source : Engadget

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